Les pilules contraceptives d’urgence
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Les efforts menés pour améliorer les pilules contraceptives d’urgence visent entre autres à les rendre plus faciles à utiliser, à diminuer les effets secondaires, et à déterminer si le délai maximum de 72 heures recommandé pour commencer la posologie peut être repoussé. Un délai maximum plus long et une posologie contenant une seule dose sont parmi les options à l’étude. Révéler les « secrets » de la contraception d’urgence Beaucoup de femmes qui ont besoin de la contraception d’urgence ne l’utilisent pas. Généralement, les femmes ne sont simplement pas au courant de son existence, ou si elles en ont entendu parler, elles ne savent pas où se rendre pour l’obtenir ou ne connaissent pas le mode d’emploi et les délais dans lesquels elle est efficace. Il se peut aussi que les pilules ne soient pas utilisées plus souvent parce que les prestataires n’ont pas beaucoup de connaissances à leur sujet. "Ce que doivent savoir les prestataires" est une courte liste de pratiques à suivre par les prestataires lorsqu’ils offrent des pilules contraceptives d’urgence à leurs clientes. "Le counseling sur les méthodes classiques" : une nécessité discute comment aider les clientes à commencer ou à continuer l’utilisation d’une méthode contraceptive régulière après utilisation de la contraception d’urgence. Accès et succès vont de pair Le fait de bien informer les clientes constitue seulement une des composantes d’une bonne stratégie pour améliorer l’accès aux pilules contraceptives d’urgence. Les clientes doivent aussi pouvoir facilement obtenir les pilules et cela à un prix abordable et dans un délai de trois jours après des rapports non protégés. Plusieurs sites Internet conçus dans le monde entier offrent des informations sur la contraception d’urgence, y compris où l’on peut se procurer des pilules. Quelques-uns de ces sites sont identifiés dans l’article intitulé "L’internet : source d’informations sur la contraception d’urgence". Témoignages personnels Des personnes de trois pays différents font part de leurs expériences personnelles vis-à-vis de la contraception d’urgence. Le traitement post-exposition du VIH En théorie, une personne exposée au VIH durant une agression sexuelle ou une activité sexuelle quelconque peut réduire son risque d’infection en suivant un traitement antirétroviral commencé peu après l’exposition, appelé prophylaxie post-exposition. Il est cependant douteux qu’offrir ce traitement de façon routinière dans tous les cas potentiels d’exposition sexuelle soit une bonne idée.
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Descripteur MESH : Contraception , Femmes , VIH Virus de l'Immunodéficience Humaine , Grossesse , Internet , Méthodes , Personnes , Recherche , Risque