Résultats définitifs de l’essai de phase II évaluant REVLIMID® et le rituximab chez les patients atteints de leucémie lymphocytaire chronique réfractaire ou en rechute

Dans le cadre de cette étude, 59 patients ont reçu 375 mg/m2 de rituximab par voie intraveineuse à une fréquence hebdomadaire pendant quatre semaines durant le cycle un, puis une fois toutes les quatre semaines durant les cycles trois à 12. Le lénalidomide par voie orale, à raison de 10 mg/jour, a été commencé le neuvième jour du cycle un puis selon un programme de dosage continu. Les cycles ont été de 28 jours avec l’intention de continuer le traitement pour 12 cycles ou plus si le patient bénéficie d’une réponse clinique. Des réductions de dose ont été faites pour la toxicité hématologique de grade 3 ou 4. La prophylaxie du syndrome de lyse tumorale (SLT) consistait en l’administration quotidienne de 300 mg d’allopurinol durant les deux premières semaines du cycle un.

L’étude indique un taux de réponse global de 66 %, avec 12 % des patients obtenant une réponse complète

Après une période de suivi médiane de 31 mois, la survie globale était de 75 %

Celgene International Sàrl, une filiale de Celgene Corporation, (NASDAQ : CELG), a annoncé les résultats définitifs d’une étude expérimentale de phase II évaluant la combinaison de REVLIMID® (lénalidomide) et du rituximab chez 59 patients atteints de leucémie lymphocytaire chronique (LLC) réfractaire ou en rechute. Ces résultats ont été présentés à l’occasion du 53ème congrès annuel de l'American Society of Hematology qui s’est tenu à San Diego, en Californie.

Dans le cadre de cette étude, 59 patients ont reçu 375 mg/m2 de rituximab par voie intraveineuse à une fréquence hebdomadaire pendant quatre semaines durant le cycle un, puis une fois toutes les quatre semaines durant les cycles trois à 12. Le lénalidomide par voie orale, à raison de 10 mg/jour, a été commencé le neuvième jour du cycle un puis selon un programme de dosage continu. Les cycles ont été de 28 jours avec l’intention de continuer le traitement pour 12 cycles ou plus si le patient bénéficie d’une réponse clinique. Des réductions de dose ont été faites pour la toxicité hématologique de grade 3 ou 4. La prophylaxie du syndrome de lyse tumorale (SLT) consistait en l’administration quotidienne de 300 mg d’allopurinol durant les deux premières semaines du cycle un.

Les réponses de l’ensemble des 59 patients étaient évaluables ; les évaluations ont été réalisées après les cycles trois, six, puis tous les six cycles par la suite. Dans l’étude, le taux de réponse global a été de 66 % (38/59), sept patients (12 %) ont obtenu une réponse complète, sept (12 %) ont obtenu une réponse nodulaire partielle et 25 (42 %) ont obtenu une réponse partielle.

Après une période de suivi médiane de 31 mois, le taux de survie global estimé était de 75 % et la durée de survie sans progression de la maladie était de 17,4 mois.

Les toxicités hématologiques de grade 3 ou 4 ont inclus : neutropénie (73 %, n=43/59), thrombocytopénie (35 %, n=20/59) et anémie (15 %, n=9/59). Des infections de grade 3 ou 4 sont survenues chez 18 patients (31 %). Un patient a été victime d’un syndrome de lyse tumorale (SLT) de grade 3. Des réactions de flambée tumorale, toutes de grade 1 ou 2, se sont produites chez 16 patients (27 %). Quatre décès ont eu lieu durant l’étude, dont un à cause d’une attaque, un à cause de l’exacerbation infectieuse d’une broncho-pneumopathie chronique obstructive et un à cause d’une arythmie cardiaque non associée. Un cancer du côlon a été diagnostiqué chez un patient et des syndromes myélodysplasiques (SMD) chez un autre, respectivement 10 et 6 mois après le début du traitement. Il y a également eu deux incidences de cancer de la peau et une récurrence d’un cancer de la tête/du cou.

Ces données sont issues d’une étude expérimentale. REVLIMID n'est pas approuvé pour le traitement des patients atteints de leucémie lymphocytaire chronique.

À propos de REVLIMID®

REVLIMID est approuvé, en combinaison avec la dexaméthasone, pour le traitement des patients atteints d'un myélome multiple ayant au moins bénéficié au préalable d'une autre thérapie dans près de 70 pays d'Europe, du continent américain, du Moyen-Orient et de l'Asie, ainsi que pour le traitement des patients dont la maladie a progressé à l'issue d'une autre thérapie en Australie et en Nouvelle-Zélande.

REVLIMID est également approuvé aux États-Unis, au Canada, en Suisse, en Australie, en Nouvelle-Zélande et dans plusieurs pays d'Amérique latine, ainsi qu'en Malaisie et en Israël, dans les cas d'anémie avec dépendance transfusionnelle due à des syndromes myélodysplasiques de risque faible à intermédiaire 1 associés à une délétion 5q avec ou sans autres anomalies cytogénétiques. Des demandes d'autorisation de mise sur le marché sont actuellement en cours d'évaluation dans plusieurs autres pays.

Depuis 1998, Celgene continue de jouer un rôle de pionnier dans la création d'environnements dans lesquels les patients peuvent profiter en toute sécurité de nos thérapies modificatrices de la maladie. De ce fait, des centaines de milliers de patients à travers le monde ont eu accès aux bénéfices cliniques de nos thérapies par le biais de nos programmes de gestion du risque basé sur la performance, notamment S.T.E.P.S.®, RevAssist® et RevMate®, qui constituent la base de notre engagement envers la sécurité des patients.

REVLIMID® (lénalidomide), en combinaison avec la dexaméthasone, est indiqué pour le traitement des patients atteints d'un myélome multiple (MM) ayant déjà bénéficié d'une autre thérapie.

REVLIMID est indiqué pour le traitement des patients atteints d'anémie avec dépendance transfusionnelle due à des syndromes myélodysplasiques de risque faible à intermédiaire 1 associés à une délétion 5q avec ou sans autres anomalies cytogénétiques.

Informations importantes de sécurité

AVERTISSEMENT : RISQUE POUR LE FŒTUS, TOXICITÉ HÉMATOLOGIQUE, THROMBOSE VEINEUSE PROFONDE ET EMBOLIE PULMONAIRE

 

Ne pas utiliser REVLIMID pendant la grossesse. Des anomalies des membres ont été signalées à la suite du traitement par lénalidomide, un analogue du thalidomide, dans une étude développementale sur les singes. Le thalidomide est un tératogène humain connu qui provoque de graves malformations congénitales susceptibles d'être fatales. La prise de lénalidomide en cours de grossesse peut provoquer des malformations congénitales, voire entraîner la mort du fœtus en développement. Les femmes en âge de procréer doivent obtenir deux tests de grossesse négatifs avant de commencer un traitement par REVLIMID. Elles doivent utiliser deux formes de contraception ou s'abstenir en permanence de tout rapport hétérosexuel pendant le traitement par REVLIMID et pendant les quatre semaines qui suivent. Pour éviter l'exposition du fœtus au lénalidomide, REVLIMID n'est disponible que dans le cadre d'un programme de distribution restrictif spécifique appelé « RevAssist® ».

 

Des informations relatives au programme RevAssist sont disponibles sur le site www.REVLIMID.com ou au numéro gratuit du fabricant 1-888-423-5436.

 

TOXICITÉ HÉMATOLOGIQUE (NEUTROPÉNIE ET THROMBOCYTOPÉNIE)

REVLIMID peut provoquer une neutropénie et une thrombocytopénie graves. Un retard/une réduction de dose a été requis(e) pour 80 % des patients souffrant de syndromes myélodysplasiques à délétion 5q au cours de l'étude principale. Un(e) deuxième retard/réduction de dose a été requis(e) pour 34 % des patients. Une toxicité hématologique de grade 3 ou 4 a été observée chez 80 % des patients participant à l'étude. Une numération globulaire complète hebdomadaire est requise chez les patients traités pour des syndromes myélodysplasiques à délétion 5q pendant les 8 premières semaines de la thérapie et au moins une fois par mois par la suite. Une interruption et/ou réduction de dose peut être nécessaire chez certains patients. Certains patients peuvent nécessiter un apport de produits sanguins ou de facteurs de croissance (voir DOSAGE et ADMINISTRATION).

 

THROMBOSE VEINEUSE PROFONDE ET EMBOLIE PULMONAIRE

REVLIMID présente un risque significativement accru et démontré de thrombose veineuse profonde (TVP) et d'embolie pulmonaire (EP) chez les patients atteints d'un myélome multiple traités par une polythérapie à REVLIMID et à la dexaméthasone. Il est recommandé aux patients et aux médecins de surveiller l'apparition de tout signe ou symptôme de thrombo-embolie. Les patients doivent être avertis de la nécessité de s'adresser à un médecin en cas d'apparition de symptômes tels qu'essoufflement, douleur thoracique ou apparition d'un œdème au niveau du bras ou de la jambe. L'effet de la prescription d'une thérapie prophylactique anticoagulante ou inhibant l'agrégation plaquettaire associée à REVLIMID afin d'atténuer le risque d'accident veineux thrombo-embolique n'est pas connu. La prudence est de mise avant l'adoption de mesures prophylactiques, et un examen préalable des facteurs de risque sous-jacents de chaque patient est requis.

 

CONTRE-INDICATIONS :

Grossesse, catégorie X :

  • Le lénalidomide est contre-indiqué chez les femmes enceintes ou susceptibles de le devenir. Les femmes en âge de procréer peuvent être traitées au lénalidomide à condition que des précautions adéquates soient prises afin d’éviter toute grossesse.

Réactions allergiques :

  • REVLIMID est contre-indiqué chez les patients ayant montré une hypersensibilité (par exemple, œdème de Quincke, syndrome de Stevens-Johnson, nécrolyse épidermique toxique) au lénalidomide.

AVERTISSEMENTS ET PRÉCAUTIONS :

Risque pour le fœtus :

  • REVLIMID est un analogue du thalidomide, tératogène humain connu qui provoque des malformations congénitales susceptibles d'être fatales. Une étude sur le développement embryofœtal chez des primates non humains indique que le lénalidomide produit des malformations chez la progéniture des femelles singes ayant été traitées pendant la grossesse, analogues aux malformations congénitales observées chez les humains à la suite d'une exposition au thalidomide pendant la grossesse. Si REVLIMID est utilisé pendant cette période, il est susceptible de provoquer des malformations congénitales ou des décès chez un nouveau-né en cours de développement.
  • Il est recommandé aux patientes en âge de procréer d'éviter toute grossesse pendant un traitement par REVLIMID. Deux méthodes de contraception efficaces doivent être utilisées pendant le traitement, au cours des interruptions thérapeutiques et pendant au moins 4 semaines après la fin du traitement.
  • Patients hommes : il n'a pas été déterminé si le lénalidomide est présent dans le sperme des patients recevant ce médicament. Les hommes recevant REVLIMID doivent donc toujours utiliser un préservatif en latex pendant tout rapport sexuel avec une femme en âge de procréer, même s'ils ont subi une vasectomie réussie.

Risque génésique et conditions spécifiques de prescription (programme RevAssist) :

  • Compte tenu de cette toxicité potentielle et afin d'éviter toute exposition fœtale, REVLIMID n'est disponible que dans le cadre d'un programme de distribution restrictif spécifique appelé « RevAssist ». Seuls les prescripteurs et pharmaciens enregistrés pour ce programme peuvent prescrire et délivrer le produit aux patients enregistrés et remplissant toutes les conditions du programme RevAssist.

Toxicité hématologique — Myélome multiple (MM) :

  • REVLIMID peut provoquer une neutropénie et une thrombocytopénie graves.
  • Une numération globulaire complète est requise toutes les 2 semaines, pendant les 12 premières semaines, pour les patients traités par REVLIMID pour le MM, puis mensuellement par la suite.
  • Dans le cadre des différentes études portant sur le MM, les toxicités hématologiques de grades 3 et 4 étaient plus fréquentes chez les patients traités avec une combinaison de REVLIMID et de dexaméthasone que chez les patients uniquement traités par dexaméthasone.
  • Une interruption et/ou réduction de dose peut être nécessaire chez certains patients.

Thrombose veineuse profonde :

  • Des thrombo-embolies veineuses (principalement thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire) se sont produites chez des patients atteints de MM traités par une polythérapie au lénalidomide et chez des patients atteints de syndrome myélodysplasique traités par une monothérapie au lénalidomide.

Réactions allergiques :

  • Des œdèmes de Quincke et des réactions dermatologiques graves, notamment le syndrome de Stevens-Johnson (SJS) et le syndrome de Lyell (SL), ont été signalés. Ces événements peuvent être mortels. Les patients qui présentent des antécédents d'éruptions cutanées de grade 4 associées au traitement au thalidomide ne doivent pas être traités par REVLIMID. L'interruption ou la suspension du traitement au REVLIMID doit être envisagée en cas d'éruptions cutanées de grades 2 et 3. Le traitement doit être interrompu en cas d'œdème de Quincke, d'éruptions cutanées de grade 4, de dermatose exfoliative ou bulleuse, ou si l'on soupçonne un SJS ou un SL, et ne doit pas être repris même si ces réactions disparaissent.

Syndrome de lyse tumorale :

  • Des cas mortels de syndrome de lyse tumorale ont été signalés pendant le traitement au lénalidomide. Les patients qui présentent un risque de contracter le syndrome de lyse tumorale sont ceux ayant une charge tumorale élevée avant le traitement. Ces patients doivent être surveillés de près et des précautions particulières doivent être prises.

Réaction de flambée tumorale :

  • Une réaction de flambée tumorale s'est produite pendant l'utilisation expérimentale du lénalidomide pour le traitement de la leucémie lymphocytaire chronique (LLC) et du lymphome. Elle se caractérise par un gonflement douloureux des ganglions lymphatiques, une température sub-fébrile, des douleurs et des éruptions cutanées. Le traitement de la LLC ou des lymphomes au lénalidomide en dehors d'un essai clinique encadré est déconseillé.

INTERACTIONS MÉDICAMENTEUSES :

  • Les agents érythropoïétiques, ou d'autres agents qui augmentent le risque de thrombose, tels que les thérapies à base d'œstrogènes, doivent être utilisés avec précaution chez les patients atteints de MM traités par bithérapie au lénalidomide et à la dexaméthasone.

UTILISATION DANS LES POPULATIONS SPÉCIALES :

Mères allaitantes :

  • L'absence de passage de REVLIMID dans le lait maternel n'a pas été démontrée.
  • Étant donné les effets indésirables potentiels chez le nouveau-né, il est nécessaire de se prononcer en faveur soit de l'interruption de l'allaitement ou du médicament, en prenant en compte l'importance du traitement pour la mère.

Utilisation gériatrique :

  • Les patients âgés étant plus enclins aux insuffisances rénales, la posologie doit faire l'objet d'une attention particulière et la fonction rénale doit être surveillée.

Insuffisance rénale :

  • REVLIMID étant principalement excrété sous forme non modifiée par voie rénale, il est recommandé d'adapter la dose initiale de REVLIMID afin d'obtenir une exposition appropriée au médicament chez les patients atteints d'une insuffisance rénale modérée ou grave (CLcr < 60 ml/min) ainsi que chez les patients sous dialyse.

EFFETS INDÉSIRABLES :

Myélome multiple

  • Dans le groupe traité par REVLIMID/dexaméthasone, 269 patients (76 %) ont fait l'objet d'au moins une interruption avec ou sans réduction de dose de REVLIMID, contre 199 patients (57 %) dans le groupe traité par placebo/dexaméthasone.
  • Parmi les patients ayant fait l'objet d'une interruption avec ou sans réduction de dose, 50 % du groupe traité par REVLIMID/dexaméthasone a fait l'objet d'au moins une autre interruption avec ou sans réduction de dose, contre 21 % dans le groupe traité par placebo/dexaméthasone.
  • Les effets les plus indésirables et de grade 3 ou 4 étaient plus fréquents chez les patients atteints de MM ayant reçu une combinaison de REVLIMID/ dexaméthasone, en comparaison avec le groupe traité par placebo/dexaméthasone.
  • Les autres effets indésirables constatés chez ≥ 15 % des patients atteints de MM (groupe de patients traités par REVLIMID/dexaméthasone contre ceux traités par dexaméthasone/placebo) sont les suivants : fatigue (44 % contre 42 %), neutropénie (42 % contre 6 %), constipation (41 % contre 21 %), diarrhée (39 % contre 27 %), crampes musculaires (33 % contre 21 %), anémie (31 % contre 24 %), pyrexie (28 % contre 23 %), œdème périphérique (26 % contre 21 %), nausées (26 % contre 21 %), douleurs dorsales (26 % contre 19 %), infection des voies respiratoires supérieures (25 % contre 16 %), dyspnée (24 % contre 17 %), étourdissements et vertiges (23 % contre 17 %), thrombocytopénie (22 % contre 11 %), éruptions cutanées (21 % contre 9 %), tremblements (21 % contre 7 %), perte pondérale (20 % contre 15 %), rhinopharyngite (18 % contre 9 %), vision trouble (17 % contre 11 %), anorexie (16 % contre 10%) et dysgueusie (15 % contre 10 %).

Syndromes myélodysplasiques

  • La thrombocytopénie (61,5 %, soit 91 patients sur 148) et la neutropénie (58,8 %, soit 87 patients sur 148) sont les effets indésirables les plus fréquemment observés dans la population atteinte de syndromes myélodysplasiques à délétion 5q.
  • Les autres effets indésirables rapportés chez ≥ 15 % des patients atteints de syndromes myélodysplasiques à délétion 5q (REVLIMID) sont les suivants : diarrhée (49 %), prurit (42 %), éruptions cutanées (36 %), fatigue (31 %), constipation (24 %), nausées (24 %), rhinopharyngite (23 %), douleurs articulaires (22 %), pyrexie (21 %), douleurs dorsales (21 %), œdème périphérique (20 %), toux (20 %), étourdissements et vertiges (20 %), maux de tête (20 %), crampes musculaires (18 %), dyspnée (17 %), pharyngite (16 %), épistaxis (15 %), asthénie (15 %) et infection des voies respiratoires supérieures (15 %).

DOSAGE ET ADMINISTRATION :

  • Le dosage est maintenu ou modifié en fonction des résultats cliniques et de laboratoire. Des modifications posologiques sont recommandées pour la gestion de la neutropénie ou de la thrombocytopénie de grade 3 ou 4, ainsi que de toute autre toxicité de grade 3 ou 4 considérée comme liée à REVLIMID.
  • Pour les autres toxicités de grade 3 ou 4 considérées comme liées à REVLIMID, il est recommandé d’interrompre le traitement et de le reprendre en diminuant la dose, une fois la toxicité revenue à un grade inférieur ou égal à 2.

Il est recommandé de consulter les informations de prescription complètes, y compris les AVERTISSEMENTS, CONTRE-INDICATIONS, PRÉCAUTIONS et EFFETS INDÉSIRABLES accompagnant le médicament.

À propos de la leucémie lymphocytaire chronique

La LLC est le type de leucémie le plus courant chez les adultes, comptant pour environ 30 à 40 % de toutes les formes de leucémie dans les pays occidentaux. L'incidence globale de la LLC est de l'ordre de quatre sur 100 000 et est deux fois plus courante chez les hommes que chez les femmes. La LLC est actuellement considérée comme incurable ; l'objectif du traitement consiste donc à contrôler la maladie en gérant ses symptômes et en prolongeant la vie des patients sans aggravation de la maladie.

À propos de Celgene International Sàrl

Celgene International Sàrl, située à Boudry, dans le Canton de Neuchâtel, en Suisse, est une filiale à part entière et le siège international de Celgene Corporation. Celgene Corporation, dont le siège se trouve à Summit, dans le New Jersey, est une société pharmaceutique internationale intégrée spécialisée dans la découverte, le développement et la commercialisation de traitements novateurs de lutte contre le cancer et les maladies inflammatoires au moyen de la régulation génique et protéinique. Pour de plus amples informations, rendez-vous sur le site Internet de la Société à l'adresse www.celgene.com.

Énoncés prospectifs

Ce communiqué de presse contient des énoncés prospectifs qui sont généralement des déclarations de nature non historique. Les énoncés prospectifs peuvent être identifiés par l'utilisation des termes « s'attend à », « anticipe », « pense que », « envisage », « estime », « prévoit », « perspectives », et par l'emploi du futur ou d'expressions similaires. Ils sont basés sur les projets, estimations, suppositions et projections actuels de la direction et ne sont valables qu'à la date de leur formulation. Nous n'assumons aucune obligation de mise à jour d'un quelconque énoncé prospectif, que ce soit à la lumière de nouvelles informations ou d'événements futurs, sauf dans la mesure où la loi l'exige. Les énoncés prospectifs comportent des risques et des incertitudes inhérents, dont la plupart sont difficilement prévisibles et qui sont généralement en dehors de notre contrôle. Les résultats ou dénouements réels peuvent différer sensiblement de ceux sous-entendus dans les énoncés prospectifs en raison de l'impact d'un certain nombre de facteurs. Bon nombre de ces facteurs sont évoqués plus en détail dans notre rapport annuel sur formulaire 10-K et dans les autres rapports déposés auprès de la SEC (la commission américaine de contrôle des opérations boursières).

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

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