Transplantation

Définitions

(Source : Dictionnaire de Médecine Flammarion, 7ème édition, 2001)

Transfert d'un organe entier d'un donneur, impliquant le rétablissement de la continuité vasculaire afférente et efférente de cet organe avec l'appareil circulatoire du receveur.

Cette définition distingue la transplantation de la greffe, qui consiste en un transfert de tissu ou de partie d'organe. Cependant dans un sens plus élargi le terme "greffe" est aujourd'hui employé pour parler de transplantation.
On distingue :

  • autotransplantation, autogreffe = effectuée sur le même individu,
  • isotransplantation, isogreffe = effectuée sur un individu isogénique,
  • homotransplantation, allogreffe = effectuée sur un individu non isogénique de la même espèce,
  • hétérotransplantation, xénogreffe = effectuée sur un individu d'une espèce différente.

Consulter notre dossier sur la xénogreffe et la xénotransplantation

Legislation

Aujourdhui, la greffe dorgane est une pratique courante puisque plus de 6000 transplantations dorgane et de moelle osseuse ont été réalisées fin 2001 en France. La greffe dorgane permet la correction de la perte de fonction dun organe de façon immédiate et durable. Cependant, maintenir un potentiel élevé de transplantations nécessite de développer le don sans heurter les sensibilités individuelles. Lencadrement légal et lamélioration de linformation sur le don sont des éléments de nature à réactiver le mouvement de solidarité dont a besoin ce domaine. C'est le rôle de l'Etablissement français des greffes (EFG), successeur de France Transplant, qui organise entre autre chaque année une campagne de sensibilisation.

Le principe du prélévement d'organe se base sur la loi de bioéthique du 29 juillet 1994 : toute personne majeure est considérée consentante au prélèvement de ses organes et tissus après sa mort si elle na pas manifesté de refus de son vivant.
La loi donne ainsi la possibilité de faire un choix concernant son propre corps après sa mort. Les autres principes généraux de la loi sont :

  • le respect du corps humain : le corps humain est inviolable et ne peut faire l'objet d'un droit patrimonial,
  • l'interdiction de toute publicité pour le don d'éléments du corps humain en faveur d'une personne, d'un établissement ou d'un organisme déterminé,
  • la gratuité du don,
  • l'anonymat entre le donneur et le receveur,
  • la sécurité sanitaire des prélèvements d'éléments du corps humain.

Seuls les établissements de santé autorisés par le Directeur de l'Agence régionale de l'Hospitalisation, agissant au nom de l'Etat, après avis du Directeur de l'EFG sont autorisés à effectuer le prélèvement d'organe ou de tissu. L'EFG est informé de tous les prélèvements d'organes et de tissus à visée thérapeutique, qu'ils soient réalisés à partir de donneurs décédés ou vivants.

Les autres lois constituant les bases de la législation encadrant la transplantation sont :

  • la loi Caillavet du 22 décembre 1976 : autorisation du prélèvement,
  • la loi hospitalière du 31 juillet 1991 : planification sanitaire des activités de greffe et de transplantation,
  • la loi de sécurité sanitaire du 1er juillet 1998 : renforcement des dispositifs dencadrement sécuritaire des transplantations.

La procédure globale de transplantation comporte plusieurs étapes dont les règles sont strictement définies par la loi.
Le site Transplantation.net a réalisé une page synthétisant l'ensemble des textes législatifs par thématique : le constat de mort - le prélèvement - conservation, transformation, transport, distribution et cession - importation, exportation - greffe - bioéthique - vigilance - sécurité sanitaire - suivi et traçabilité.


Etapes de la procédure

- Prélèvement :

  • effectuer dans un établissement de santé autorisé,
  • organisation avec un médecin référent (responsable de l'activité de prélèvement), un médecin préleveur (responsable de la vérification du dossier médical et du prélèvement lui-même) et un coordinateur hospitalier chargé des démarches administratives.

- Constat de mort :

  • effectuer sur un procès verbal en plus du certificat de décès et signer par des médecins n'appartenant pas à l'équipe de prélèvement,
  • pour un arrêt cardiaque et respiratoire persistant doivent être constatées labsence totale de conscience et dactivité motrice spontanée, labolition de tous les réflexes du tronc cérébral et labsence totale de ventilation spontanée,
  • la mort cérébrale implique en plus des critères précédents une vérification de labsence de ventilation spontanée par une épreuve dhypercapnie et soit deux électroencéphalogrammes nuls et aréactifs effectués à un intervalle minimal de quatre heures, soit une angiographie confirmant larrêt de la circulation encéphalique.

- Registre national automatisé des refus :

  • toute personne majeure ou mineure âgée de treize ans au moins peut sinscrire sur le registre,
  • aucun prélèvement à but thérapeutique ne peut être réalisé chez un patient inscrit au registre des refus (pour les prélèvements à but thérapeutique),
  • linterrogation du registre est obligatoire avant tout prélèvement chez une personne décédée âgée de plus de treize ans. Elle fait lobjet dun document écrit, daté et signé par le directeur de lhôpital ou par un autre responsable.

Le cas de mort encéphalique permet le prélèvement des organes, lactivité cardiaque et la respiration pouvant être maintenues artificiellement pendant quelques heures. Mais la cornée, los cortical et la peau, prélevés dans les mêmes conditions, peuvent lêtre quelques heures après larrêt du coeur.

- Répartition des organes :

  • un greffon ne peut être attribué quà un patient inscrit sur la Liste nationale dattente et dont linscription a été confirmée par létablissement français des Greffes,
  • il existe des catégories de patients prioritaires : enfants de moins de 16 ans, patients dont la vie est menacée à court terme, etc.

Un nouvel outil de gestion de la liste nationale des malades en attente de greffe de produits d'origine humaine va être mis en place sur Internet et le Réseau Santé Sociale à partir du 1er octobre 2002 : le Portail du Système d'Information du Prélèvement et de la Greffe.
Lancé à l'initiative de l'EFG, il concernera d'abord les chirurgiens ophtamologistes pour être ensuite étendu aux autres domaines de la greffe.

Rejet et système HLA

Plusieurs risques correspondant à chaque étape de la transplantation (prélèvement, conservation, transport et transformation) existent mais le risque majeur reste le rejet du greffon.
L'organisme ne reconnaît pas les cellules greffées et fait intervenir son système de défense immunitaire. Ce mécanisme est induit par les lymphocytes.

A travers l'exemple de la transplantation rénale on peut observer diverses formes anatomo-cliniques de rejet :

  • rejet hyperaigu = survient très rapidement et entraîne la perte du greffon; celui-ci turgescent et de coloration violette montre des lésions de nécroses et de thromboses sur le réseau artériel. Cette forme rare est due à l'existence d'anticorps préformés chez le receveur et dirigés contre des antigènes du donneur,
  • rejet aigu = souvent au cours de la première année de transplantation avec une augmentation du volume du greffon et un arrêt de la fonction rénale; on observe des lésions réversibles sur l'interstitium et l'épithélium tubulaire. Les lésions histologiques du rejet aigu traduisent la réaction alloimmune in situ par une pénétration des lymphocytes T.
  • rejet chronique = dégradation progressive de la fonction rénale associée à des lésions histologiques particulières (fibrose de l'interstitium avec atrophie tubulaire, rétrécissement progressif des lumières artérielles et artériolaires par sclérose de la paroi vasculaire et atteinte glomérulaire); les mécanismes impliqués ne sont pas cernés mais conduisent à la destruction du greffon.

Dans certains cas, le problème est inversé et c'est le greffon qui réagit contre l'hôte (graft versus host disease : GVH). Ainsi, dans les greffes de moelle, les cellules immunologiquement compétentes du donneur réagissent contre les antigènes de l'hôte, aboutissant à des lésions de multiples tissus (peau, tube digestif, foie).

Système HLA

En dehors de l'opération chirurgicale elle-même, la réussite de la greffe dépend de la capacité de l'organisme hôte à conserver le greffon.
Pour obtenir une réponse immunitaire minimale il faut une histocompatibilité maximale aussi bien pour le système ABO et le système HLA.
Les molécules HLA (Human Leucocyte Antigens) sont des glycoprotéines exprimées à la surface des cellules nucléées et codées par des gènes formant le complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) humain sur le chromosome 6.
Les gènes du CMH et leurs produits sont répartis en trois classes (I, II et III) selon leurs propriétés biochimiques, leur expression phénotypique et leur fonction. Le grand nombre de loci et d'allèles donne un polymorphisme important caractérisant chaque individu. Seuls les produits de classe I et II sont impliqués dans la fonction de présentation de lantigène aux lymphocytes T, et constituent pour le système immunitaire un moyen de surveillance des milieux intracellulaires et extracellulaires.

L'importance de l'histocompatibilité dans le devenir des allogreffes rénales est bien établie. Le rôle bénéfique de la compatibilité HLA est démontré pour les transplantations de coeur, de pancreas et de cornée, elle reste controversée en transplantation hépatique.

Immunosuppresseurs

Le traitement à base de médicaments immunosuppresseurs permet de diminuer lintensité des réactions immunologiques de lorganisme contre le greffon.

Buts du traitement par immunosuppresseur :

  • prévenir le rejet aigu à la phase initiale,
  • traitement dinduction systématique ou utilisé en cas de reprise retardée de la fonction rénale, ou en cas de risque immunologique chez un patient ayant déjà eu un rejet de greffe, un patient hyper immunisé, un patient ayant une greffe combinée (rein cSur, rein foie, rein pancréas),
  • traiter un épisode de rejet aigu,
  • maintenir un greffon fonctionnel avec un traitement dentretien pris toute la vie.

Principaux immunosuppresseurs :

  • Prednisolone = corticostéroïde donné à forte dose après la transplantation puis diminué progressivement,
  • Azathioprine = antimétabolite donné habituellement au début de la transplantation, souvent associé à la cyclosporine,
  • Cyclophosphamide = agent alkylant pour les patients ne tolérant pas l'azathioprine,
  • Ciclosporine (ou cyclosporine) = polypeptide cyclique provenant de champignon; molécule la plus utilisée à l'effet sur les lymphocytes T plus sélectif que les autres antimétabolites,
  • Tacrolimus = antibiotique de la famille des macrolides, d'efficacité équivalente à la ciclosporine.

Ces drogues comportent de nombreux effets secondaires, en général dose-dépendants. En ce qui concerne la ciclosporine il s'agit essentiellement de néphrotoxicité.
La recherche thérapeutique s'oriente vers de nouveaux immunosuppresseurs aux effets secondaires moindres.

Indications et contre indications

Quelle que soit la nature de la greffe, les contre indications absolues relèvent du bon sens et sont relatives à l'âge du patient, à son état général et psychiatrique et à l'existence d'une autre maladie grave associée.
Il existe dans une moindre mesure d'autres types de greffes et transplantations : cartilage, os, tissu médullaire, parathyroïde.

Rein

- Indications
Insuffisance rénale chronique très évoluée. La greffe de rein n'est pas vitale mais constitue pour le patient atteint d'insuffisance rénale chronique le meilleur moyen de retrouver un fonctionnement normal.

- Contre indications

  • insuffisance rénale potentiellement réversible,
  • troubles graves du rythme cardiaque,
  • angor évolutif,
  • infarctus du myocarde récent,
  • cancer évolutif,
  • certains syndromes dysimmunitaires,
  • sérologie VIH positive,
  • saignement digestif évolutif,
  • AVC,
  • arriération mentale empêchant la coopération et l'acceptation du malade.

Pancréas (îlots de Langerhans)

Indications
Quasi exclusivement le diabète de type I insulino-dépendant. Dans 90 % des cas cette greffe est réalisée conjointement avec une greffe rénale.

Coeur

- Indications
Insuffisance cardiaque terminale réfractaire à un traitement médicamenteux.

- Critères dexclusion pour une mise sur liste dattente

  • pour une âge >65 ans au moment de la mise sur liste affection rénale ou hépatique irréversible,
  • hypertension pulmonaire sévère avec résistances artérielles pulmonaires élevées,
  • diabète insulino-requérant avec rétinopathie proliférative,
  • insuffisance respiratoire chronique grave,
  • infection active ou pouvant être aggravée par limmunosuppression,
  • infarctus pulmonaire récent,
  • ulcère digestif actif,
  • toute affection qui pourrait être aggravée par le traitement de corticoïdes,
  • toxicomanie avérée sans abstinence >6 mois,
  • toute maladie générale qui pourrait compromettre la survie post-opératoire (pathologies oncologiques, rhumatologiques et infectieuses chroniques),
  • sérologie HIV positive,
  • sérologie positive pour lhépatite B avec DNA circulant mis en évidence quantitativement,
  • hépatite virale chronique,
  • maladie vasculaire périphérique grave,
  • obésité morbide,
  • pathologie psychiatrique grave et non contrôlable,
  • toute pathologie cardiaque récidivant potentiellement dans le greffon (amyloïdose, hémochromatose secondaire à une affection non corrigeable).

Poumon et groupe poumon-coeur

- Indications
Elles concernent deux groupes de maladies pulmonaires :

  • hypertensions artérielles pulmonaires qui peuvent être primitives ou consécutives à une maladie thromboembolique, cardiopathies congénitales,
  • insuffisances respiratoires restrictives ou obstructives.

- Contre indications
Sans en être vraiment il existe certains facteurs dont il faut tenir compte :

  • malade sous ventilation artificielle,
  • antécédent de chirurgie thoracique ou cardiaque,
  • maladie systémique,
  • corticothérapie importante préalable,
  • infections chroniques à germes résistants.

Foie

- Indications

  • insuffisance hépatique terminale,
  • maladies cholestatiques chroniques,
  • hépatites fulminantes,
  • maladies parenchymateuses chroniques du foie : cirrhoses (infection virale B ou C, hépatite chronique auto-immune, alcoolisme),
  • cancers primitifs,
  • maladies métaboliques comme celle de Wilson.

- Contre indications
Typiquement : défaillance viscérale extra-hépatique.

Moelle osseuse

- Indications
Greffe allogénique génoidentique pour :

  • hémopathies non malignes présentant un défaut de production de la moelle osseuse,
  • déficits immunitaires ou drépanocytose,
  • hémopathies malignes,
  • en pédiatrie, après rechute de leucémie aiguë lymphoblastique,
  • chez l'adulte, dans le cadre des leucémies aiguës myéloblastiques ou lymphoblastiques en première rémission complète,
  • leucémies myéloïdes chroniques

Greffe autologue pour les hémopathies malignes, il s'agit globalement des indications de la greffe allogénique chez les patients pour lesquels, il n'existe pas de donneur HLA identique.

Pour cette greffe, il existe un risque de GVH (graft versus host disease) traité en aiguë par corticothérapie et en chronique par une association Ciclosporine A et corticoïdes.

Cornée

Indications

  • greffe à but optique,
  • greffe architectonique (amincissement, perforation cornéenne),
  • greffe thérapeutique (cornée atteinte par une maladie évolutive comme le kératocône),
  • kératoplastie à visée esthétique (personne défigurée par une cornée blanche ou complètement opaque).

Peau

Indications :

  • autogreffe cutanée pour les brûlures profondes (3ème degré le plus souvent), lorsque toute l'épaisseur de la peau est atteinte et la cicatrisation spontanée est impossible,
  • allogreffes cutanées pour les grands br ûlés, elle jouaient au départ le rôle de "pansements" temporaires et sont maintenant utilisées dans une optique de conservation par revascularisation.

Pour en savoir plus

Généralités et recommandations

Transplantation d'organes
Dossier de la Fondation pour la recherche médicale : Quelles ont été les grandes étapes de lhistoire des transplantations ? - Le prélèvement : que prévoit la loi ? - Quels sont les différents types de greffes ? - Quelles sont les voies davenir ? - Comment la transplantation dorganes peut-elle être pensée dun point de vue éthique ?
Réalisé par Gérard Benoît, Service de transplantation rénale de lhôpital de Bicêtre, Didier Houssin, Directeur de létablissement français des Greffes, Jean-Pierre Revillard, Unité Inserm "Immunologie fondamentale et clinique", Hôpital Edouard Herriot de Lyon et rédigé par Corinne Dupuy. Septembre 1999.


Prélèvements et transplantations d'organes
Les principes généraux - Prélèvement d'organe sur une personne vivante - Prélèvement sur une personne décédée (Le constat de décès et le consentement) - Conditions de réalisation. Auteur : Dr. François Paysant CHU de Rennes, Service de Médecine Légale. Septembre 1998.

Dons dorganes et transplantation : quen pensent les soignants ?
Médecine et Hygiène, No 2372, décembre 2001. Auteurs : L. Imperatori C. Gachet P. Eckert R. Chioléro.


Recommandations de l'ANAES

La partie thématique Transplantation comprend : évaluation des allogreffes de moelle osseuse et du fichier des donneurs volontaires de moelle osseuse (1993) - Implants oculaires (1995) - Les greffes de cornée (1996) - Les implants mammaires remplis de gel de silicone (1996) - Les indications de la Transplantation Hépatique (1993) - Les implants mammaires remplis de gel de silicone (1996) - Les substituts osseux (1997) - Recommandations et Références Médicales 1995, Tome 1 - Traitement de l'hépatite C (2002).
Voir le document

Transplantation hépatique : données nouvelles médicales
Consensus issu de la Journée d'Hépatologie de l'Hôpital Henri Mondor en 2001, Christophe DUVOUX Hôpital Henri Mondor, Créteil. Mis en ligne : 27 septembre 2001.
Voir le document

Greffe rénale à partir de donneur vivant
Recommandations cliniques et bonnes pratiques. Edité par l'Etablissement français des Greffes. Disponible au format PDF sur le site de la Société de néphrologie. Novembre 2001.


National Guideline Clearinghouse
Page rassemblant l'ensemble des guides de consensus de pratique clinique américains sur le thème de la transplantation. En anglais


Traitements Immunosuppresseurs
Azathioprine - Glucocorticoïdes - Ciclosporine - Nouveaux médicaments immunosuppresseurs - Sérums antilymphocitaires - Bibliographie. Auteurs : D. Farge et Y. Calmus. Décembre 2001.
Voir le document

Par organe

Mécanisme du rejet d'allogreffe
Aspects morphologiques et fonctionnels - aspect immunologique - cible du rejet - modèles d'étude in vitro de la réaction de rejet - conclusion. Auteur : B. Charpentier, décembre 2001.
Voir le document

Transplantation rénale
Cours en ligne sur le site Formation francophone en néphrologie animé par le Dr Daniel FRIES, ancien Professeur de Néphrologie à la faculté de médecine Paris-Sud et ancien chef du service de Néphrologie-Dialyse-Transplantation de l'Hôpital de Bicêtre. Chapitres :
Introduction - Receveur - Donneur - Conditionnement - Immunosuppresseurs - Surveillance post-greffe - Complications - Résultats - Organisation. Mise à jour janvier 2002.


Chirurgie du foie et des voies biliaires
Indications de transplantation - Heure de transplantation - Traitement immunosuppresseur - Autres indications de chirurgies hépatiques. Synthèse du cours du Pr Bernard Launois, faculté de Rennes. Avril 1998.


Greffe de cornée
Les facettes de la kératoplastie expliquées par le Syndicat National des Ophtalmologistes de France.


Indications et résultats de la transplantation intestinale
Médecine et Hygiène, No 2396, juin 2002. Auteurs : T. Berney L. Buhler P. Charbonnet P. Majno G. Mentha P. Morel.


Insuffisance cardiaque résistant au traitement médicamenteux : greffe et alternatives
Médecine et Hygiène, No 2393, mai 2002. Auteurs : Ch. Seydoux, X. Mueller, J.-J. Goy et L. von Segesser.

Organisations et associations

Etablissement français des Greffes
Site de l'Etablissement français des Greffes, établissement public national créé en 1994. Il possède cinq missions : Gérer la liste des patients en attente de greffe - Répartir et attribuer les greffons - Organiser le secteur des tissus - Evaluer les activités de prélèvement et de greffe et analyser les résultats des greffes - Promouvoir la greffe. Présentation de tous les aspects de la greffe par des séries de questions/réponses thématiques.


France Transplant
L'organisme a continué d'exister après la création de l'Etablissement français des Greffes pour deux missions : promouvoir les prélèvements et les greffes, maintenir et développer la vie associative régionale des acteurs de la transplantation. Mise à jour décembre 2000.
Voir le document

Unité de Coordination Hospitalière des Prélèvements et des Greffes
Structure transversale du CHU de Rouen rattachée au Département d'anesthésie-réanimation. Donne accès à des informations grand public (informations sur le prélèvement - "La chaine du prélèvement" - l'activité du CHU de Rouen - Foire Aux Questions - Les interrégions de l'EFG) et médicales (Glossaire - Prise en charge d'un donneur - Bonnes pratiques de prélèvement d'organes - Bonnes pratiques de prélèvement de tissus - La greffe de cornée). Décembre 1998.
Voir le document

France ADOT
Site de la Fédération des associations pour le don d'organes et de tissus humains.
Présentation de l'association - Explications sur le don d'organes et de tissus humains - Données officielles de 2000 - la loi française en bioéthique - Actualités - Questions/réponses - Carte du donneur - Adresses. Juin 2002.
Voir le document

France Greffe de Moëlle
Fichier national des donneurs de cellules souches hématopoïétiques.
Voir le document

Association Ouest-Transplant
Association de professionnels de la santé impliqués dans la greffe et le prélèvement d'organes dont le but est l'échange d'informations et la sensibilisation du grand public.
Voir le document

Transplantation.net
Site réalisé par Novartis divisé en une partie professionnel de la santé et une partie grand public. Accès à un annuaire des associations françaises ainsi qu'un annuaire commenté des principales organisations et sociétés d'informations et de recherches américains et européens.
Voir le document

Registre National des Refus
Fiche de France ADOT pour s'inscrire au registre national des refus de transplantation.
Voir le document

Fondation pour le développement des techniques de suppléance des fonctions vitales
Appelée aussi Fondation Transplantation dont l'objectif est de valoriser les techniques médicales pour suppléer les fonctions vitales chez lhomme par la transplantation dorganes et de cellules.


Le nouveau souffle
Association des greffés cardiaques et pulmonaires du Sud-Ouest.


Recherche et actualité

Groupe de Recherche sur les Glomérulonéphrites et la Transplantation Rénale
Equipe de recherche de la faculté de médecine Jacques Lisfranc, de Saint-Etienne. Juin 1999.


Dépêches de caducee.net sur la transplantation

#COVID-19 : le point de situation épidémiologique sur le coronavirus SARS-CoV-2

Descripteur MESH : Bioéthique , Ciclosporine , Cornée , Foie , Pancréas , Rein , Transplantation

PUBLICITE