Gilead lance un programme clinique de Phase III destiné à évaluer un schéma posologique « Quad » d’un seul comprimé par jour contre le VIH

« Nous avons le plaisir d’annoncer que le programme clinique Quad de Phase III a débuté », a déclaré Norbert Bischofberger, PhD, vice-président exécutif, Recherche et développement et directeur scientifique chez Gilead Sciences. « Les résultats d’efficacité et d’innocuité issus de l’étude de Phase II semblent indiquer que le schéma Quad pourrait représenter une nouvelle option significative pour les patients atteints du VIH. Nous nous réjouissons à l’idée de continuer à définir le profil clinique du Quad dans un nombre plus vaste de patients au cours des essais de Phase III. »

Gilead Sciences, Inc. (Nasdaq : GILD) a annoncé aujourd’hui avoir administré la première dose à un patient dans le cadre de son programme clinique de Phase III destiné à évaluer son schéma posologique expérimental « Quad » d’un seul comprimé à dose fixe d’elvitégravir, de cobicistat (anciennement GS 9350), d’emtricitabine et de ténofovir disoproxil fumarate. Le programme clinique de Phase III pour le schéma Quad comporte deux études (les études 102 et 103) qui évalueront ce dernier par rapport à une prise en charge standard parmi des adultes infectés au VIH-1 et naïfs de traitement antirétroviral.

« Nous avons le plaisir d’annoncer que le programme clinique Quad de Phase III a débuté », a déclaré Norbert Bischofberger, PhD, vice-président exécutif, Recherche et développement et directeur scientifique chez Gilead Sciences. « Les résultats d’efficacité et d’innocuité issus de l’étude de Phase II semblent indiquer que le schéma Quad pourrait représenter une nouvelle option significative pour les patients atteints du VIH. Nous nous réjouissons à l’idée de continuer à définir le profil clinique du Quad dans un nombre plus vaste de patients au cours des essais de Phase III. »

Gilead étudie également le cobicistat en tant qu’agent amplificateur autonome pour d’autres antirétroviraux, notamment les inhibiteurs de protéase. Dans le courant du trimestre, Gilead projette de lancer un essai clinique de Phase III destiné à évaluer l’efficacité et l’innocuité de l’atazanavir amplifié par le cobicistat et la tolérance à ce traitement, comparé à l’atazanavir amplifié par le ritonavir, chacun étant associé au Truvada® (emtricitabine et ténofovir disoproxil fumarate).

Définition des études

L’étude 102 est un essai clinique randomisé en double aveugle qui comparera l’efficacité et l’innocuité du Quad et la tolérance à ce schéma posologique contre l’Atripla® (éfavirenz 600 mg/emtricitabine 200 mg/ténofovir disoproxil fumarate 300 mg) sur une période de 96 semaines dans 130 sites d’étude aux États-Unis et à Porto Rico. Les patients pouvant y participer seront des adultes infectés au VIH et naïfs de traitement, présentant des niveaux d’ARN du VIH supérieurs ou égaux à 5 000 copies/mL. Environ 700 participants à l’essai seront choisis au hasard (1:1) afin de recevoir un comprimé à prise journalière unique à base d’elvitégravir 150 mg/cobicistat 150 mg/emtricitabine 200 mg/ténofovir disoproxil fumarate 300 mg (n=350) ou Atripla (éfavirenz 600 mg/emtricitabine 200 mg/ténofovir disoproxil fumarate 300 mg) (n=350).

L’étude 103 est un essai clinique randomisé en double aveugle qui comparera l’efficacité et l’innocuité du Quad et la tolérance à ce schéma posologique contre l’atazanavir amplifié par le ritonavir et le Truvada sur une période de 96 semaines dans plus de 200 sites d’étude en Amérique du Nord, Amérique du Sud, Europe et Asie-Pacifique. Les patients pouvant y participer seront des adultes infectés au VIH et naïfs de traitement présentant des niveaux d’ARN du VIH supérieurs ou égaux à 5 000 copies/mL. Environ 700 participants à l’essai seront choisis au hasard (1:1) afin de recevoir un comprimé à prise journalière unique à base d’elvitégravir 150 mg/cobicistat 150 mg/emtricitabine 200 mg/ténofovir disoproxil fumarate 300 mg (n=350) ou de ritonavir 100 mg et d’atazanavir 300 mg et d’emtricitabine 200 mg/ténofovir disoproxil fumarate 300 mg (n=350).

Le principal critère d’évaluation des deux essais sera la proportion de patients dont le niveau d’ARN du VIH atteindra moins de 50 copies/mL à 48 semaines de traitement. Les objectifs secondaires évalueront l’efficacité et l’innocuité de ces schémas jusqu’à 96 semaines de traitement et la tolérance à ces derniers.

Après la semaine 96, les sujets continueront à prendre le médicament assigné pour l’étude en aveugle jusqu’à ce que les attributions de traitement soient dévoilées, moment auquel tous les sujets auront le choix de participer à une extension de renouvellement ouvert et de recevoir le schéma posologique Quad d’un seul comprimé à dose fixe.

À propos de l’elvitégravir

L’elvitégravir est un inhibiteur de l’intégrase du VIH. À la différence des autres classes d’agents antirétroviraux, les inhibiteurs d’intégrase interfèrent avec la réplication du VIH en bloquant la capacité du virus à s’intégrer dans le matériel génétique des cellules humaines. L’elvitégravir a été cédé à Gilead par Japan Tobacco Inc. (JT) sous licence en mars 2005. En vertu de l’accord entre Gilead et JT, Gilead détient les droits exclusifs de développement et de commercialisation de l’elvitégravir dans tous les pays du monde sauf le Japon, où JT conserve les droits.

À propos du cobicistat

Le cobicistat, exclusif de Gilead, est un puissant inhibiteur mécanique du cytochrome P450 3A (CYP3A), une enzyme qui métabolise les médicaments dans le corps. Outre son étude de cet agent dans le cadre d’un schéma posologique à dose fixe basé sur l’intégrase, Gilead étudie également le rôle autonome potentiel du cobicistat dans l’amplification des inhibiteurs de la protéase du VIH disponibles commercialement, lesquels sont utilisés dans de nombreux traitements contre le VIH.

Le schéma posologique « Quad » d’un seul comprimé à dose fixe, l’elvitégravir et le cobicistat sont des produits expérimentaux et leur innocuité et leur efficacité chez l’homme n’ont pas encore été déterminées.

Informations importantes sur l’innocuitédu Truvada et de l’Atripla

Des cas d’acidose lactique et d’hépatomégalie grave avec stéatose, y compris des cas mortels, ont été signalés avec l’utilisation d’analogues de nucléoside seuls ou en association avec d’autres antirétroviraux, notamment le Viread (ténofovir disoproxil fumarate), un composant de l’Atripla et du Truvada. L’Atripla et le Truvada ne sont pas approuvés pour le traitement d’infections chroniques au virus de l’hépatite B (VHB) et l’innocuité et l’efficacité de ces médicaments n’ont pas été établies chez les patients coinfectés par le VHB et le VIH-1. Des exacerbations aiguës graves de l’hépatite B ont été signalées chez des patients coinfectés par les virus VIH-1 et HBVayant arrêté un traitement par Atripla ou Truvada. La fonction hépatique doit être étroitement surveillée avec un suivi clinique et des analyses pendant au moins plusieurs mois chez les patients coinfectés par le VHB et le VIH-1 qui arrêtent le traitement par Atripla ou Truvada. Le cas échéant, il pourra s’avérer nécessaire de commencer un traitement anti-hépatite B.

Il est important pour les patients de savoir que les médicaments anti-VIH, y compris l’Atripla et le Truvada, ne guérissent pas l’infection au VIH ni le SIDA et ne réduisent pas le risque de transmettre le VIH à autrui.

Informations complémentaires importantes sur le Truvada

Le Truvada est une co-formulation sous forme de comprimé à dose fixe contenant 200 mg d’emtricitabine (Emtriva) et 300 mg de ténofovir disoproxil fumarate (Viread). Aux États-Unis le Truvada est indiqué en association avec d’autres agents antirétroviraux, tels que les inhibiteurs de transcriptase inverse non nucléosidiques ou les inhibiteurs de protéase, pour le traitement du VIH-1 chez l’adulte.

Le Truvada ne doit pas être administré en association avec des produits contenant l’Atripla, l’Emtriva, le Viread ou la lamivudine, y compris le Combivir® (lamivudine/zidovudine), l’Epivir® ou l’Epivir-HBV® (lamivudine), l’Epzicom® (sulfate d’abacavir/lamivudine) ou le Trizivir® (sulfate d’abacavir/lamivudine/zidovudine). Chez les patients déjà traités, la prise de Truvada doit s’appuyer sur des analyses de laboratoire et l’historique du traitement.

L’emtricitabine et le ténofovir sont éliminés essentiellement par les reins. Des cas de déficience rénale, notamment des cas d’insuffisance rénale aiguë et de syndrome de Fanconi (atteinte des tubules rénaux accompagnée d’hypophosphatémie grave), ont été signalés en association avec la prise de Viread. Il est recommandé de calculer la clairance de la créatinine chez tous les patients avant le début du traitement par Truvada, et si cela est approprié au niveau clinique, pendant le traitement. Un contrôle régulier de la clairance de la créatinine calculée et du phosphore sérique doit être effectué chez les patients à risque d’insuffisance rénale, y compris les patients ayant déjà présenté des effets rénaux sous Hepsera® (adéfovir dipivoxil). Il est recommandé de procéder à un ajustement des intervalles de dosage et de suivre de près la fonction rénale chez les patients présentant une clairance de la créatinine de 30-49 ml/min. Le Truvada doit être évité avec la prise simultanée ou récente d’un agent néphrotoxique. Le Truvada ne doit pas être administré en association avec l’Hepsera.

L’administration de Truvada en association avec de la didanosine nécessite une certaine prudence. Les patients doivent être étroitement surveillés pour détecter tout effet indésirable associé à la didanosine et la didanosine arrêtée, le cas échéant. Une réduction du dosage de la didanosine devra être envisagée, le cas échéant. Les patients sous atazanavir et lopinavir/ritonavir plus Truvada doivent être suivis pour détecter tout effet indésirable associé au Truvada et le Truvada arrêté, le cas échéant. Lorsqu’il est administré en association avec le Truvada, il est recommandé de compléter l’atazanavir par du ritonavir 100 mg comme agent amplificateur. L’atazanavir sans ritonavir ne doit pas être administré en association avec le Truvada.

Une diminution de la densité minérale osseuse (DMO) a été constatée au niveau du rachis lombaire et de la hanche consécutivement à la prise de Viread. L’effet sur la santé osseuse à long terme et le risque futur de fracture est inconnu. Une surveillance de la DMO doit être envisagée chez les patients présentant des antécédents de fractures pathologiques ou à risque d’ostéopénie. Des cas d’ostéomalacie (associée à une tubulopathie rénale proximale et pouvant contribuer à des fractures) ont été signalés en association avec la prise de Viread.

Des modifications de la masse adipeuse corporelle ont été observées chez les patients prenant des médicaments anti-VIH. Le syndrome de reconstitution immune a été signalé chez des patients ayant subi une bithérapie, notamment avec le Viread et l’Emtriva, et pourra nécessiter une évaluation et un traitement complémentaires.

Les effets indésirables les plus fréquents (incidence ≥ 10 %) sont la diarrhée, la nausée, la fatigue, les céphalées, les étourdissements, la dépression, l’insomnie, les rêves anormaux et l’érythème.

La molécule parente du Viread a été découverte par une recherche collaborative entre le Dr Antonin Holy, de l’Institut de chimie organique et biochimie de l’Académie des sciences de la République tchèque à Prague et le Dr Erik DeClercq, de l’Institut Rega de recherche médicale de l’Université catholique de Louvain en Belgique. Les inventeurs du Viread ont accepté de renoncer à leur droit à une redevance sur la vente du Viread et du Truvada dans les pays du programme Access de Gilead, afin d’assurer que le produit puisse être vendu sans bénéfice dans les parties du monde les plus frappées par l’épidémie.

Pour les informations posologiques complètes du Truvada, consultez le site www.Truvada.com.

Informations complémentaires importantes sur l’Atripla

Aux États-Unis l’Atripla est indiqué comme thérapie unique complète ou en association avec d’autres agents antirétroviraux pour le traitement anti-VIH-1 chez l’adulte.

L’Atripla contient les composants du Truvada (emtricitabine et ténofovir disoproxil fumarate) et du Sustiva (éfavirenz), co-formulés en un comprimé unique. En tant que tel, les informations importantes sur l’innocuité figurant dans la section Truvada ci-dessus concernent également l’Atripla, en plus des informations importantes qui suivent sur le produit.

Dans un schéma posologique à dose fixe de Viread (ténofovir disoproxil fumarate), d’Emtriva (emtricitabine) et de Sustiva (éfavirenz), l’Atripla ne doit pas être administré en association avec le Viread, l’Emtriva, le Truvada (emtricitabine et ténofovir disoproxil fumarate) ou le Sustiva. Du fait de similarités entre l’Emtriva et la lamivudine, l’Atripla ne doit pas être administré en association avec des médicaments contenant de la lamivudine, notamment le Combivir® (lamivudine/zidovudine), l’Epivir® ou l’Epivir-HBV® (lamivudine), l’Epzicom® (sulfate d’abacavir/lamivudine) ou le Trizivir® (sulfate d’abacavir/lamivudine/zidovudine).

L’Atripla ne doit pas être pris avec le bépridil, le cisapride, le midazolam, le pimozide, le triazolam et les produits dérivés de l’ergot de seigle en raison d’une contre-indication avec l’éfavirenz. La prise d’Atripla avec le voriconazole, le millepertuis officinal (Hypericum perforatum) ou les produits contenant du millepertuis officinal est déconseillée. La prise d’Atripla avec de l’atazanavir ou de l’atazanavir/ritonavir est déconseillée.

L’Atripla ne doit pas être administré aux patients dont la clairance de la créatinine est inférieure à 50 ml/min.

Des épisodes psychiatriques indésirables graves, parmi lesquels une dépression profonde (2,4 %), une idéation suicidaire (0,7 %), des tentatives de suicide (0,5 %), un comportement agressif (0,4 %), des réactions paranoïaques (0,4 %) et des réactions obsessionnelles (0,2 %), ont été signalés chez des patients traités par l’éfavirenz, un composant de l’Atripla. Outre l’éfavirenz, certains des facteurs identifiés dans une étude clinique comme étant associés à une augmentation des symptômes psychiatriques comprenaient les antécédents d’utilisation de drogues injectables, les antécédents psychiatriques et la prise de médicaments psychiatriques. Des cas isolés de suicide, de délire et de comportement pseudo-psychotique ont été signalés, mais il n’a pas été possible de déterminer si l’éfavirenz en était la cause. Les patients ayant connu des épisodes psychiatriques indésirables graves devront subir une évaluation immédiate pour déterminer si les risques de poursuite du traitement l’emportent sur ses avantages. Les patients doivent indiquer à leur médecin s’ils ont des antécédents de maladie mentale, consomment des stupéfiants ou de l’alcool.

53 % des patients d’études cliniques ont signalé des symptômes du système nerveux central incluant vertiges (28,1 %), insomnie (16,3 %), problèmes de concentration (8,3 %), somnolence (7,0 %), rêves anormaux (6,2 %) et hallucinations (1,2 %) lorsqu’ils prenaient de l’éfavirenz comparé à 25 % chez les patients recevant des schémas témoins. Ces symptômes commencent généralement le premier ou le deuxième jour de la thérapie et disparaissent généralement après les deux à quatre premières semaines du traitement. Après quatre semaines de traitement, la prévalence des symptômes du système nerveux central de gravité au moins modérée était de 5 à 9 % chez les patients traités avec des schémas contenant l’éfavirenz. Les symptômes liés au système nerveux ne sont pas annonciateurs des symptômes psychiatriques moins fréquents.

Les femmes ne doivent pas tomber enceintes ou allaiter pendant la prise d’Atripla. Des malformations congénitales graves ont été constatées chez les enfants de femmes traitées à l’éfavirenz au cours de la grossesse. Les femmes doivent utiliser une méthode contraceptive de barrière fiable, comme le préservatif, pendant 12 semaines après l’arrêt de l’Atripla, même si elles utilisent par ailleurs d’autres méthodes de contraception.

Les érythèmes sont un effet secondaire courant qui disparaît généralement sans modification du traitement. Les érythèmes peuvent être un problème sérieux chez certains patients.

Chez les patients présentant des antécédents connus ou soupçonnés d’hépatite B ou C et chez les patients traités avec d’autres médicaments associés à la toxicité hépatique, la surveillance des enzymes hépatiques est recommandée.

L’Atripla doit être utilisé avec prudence chez les patients ayant des antécédents de crises convulsives. Des convulsions ont été observées chez des patients qui prennent de l’éfavirenz, généralement en présence d’antécédents médicaux connus de crises convulsives.

L’Invirase® (saquinavir) ne doit pas être utilisé comme le seul inhibiteur de protéase en association avec l’Atripla.

Les effets indésirables les plus importants observés chez les patients traités avec le Sustiva sont des symptômes liés au système nerveux, des symptômes psychiatriques et des érythèmes. Les effets indésirables les plus fréquemment observés (5 % au moins) dans les études cliniques du Sustiva comprennent fatigue, douleurs, vertiges, céphalées, insomnie, problèmes de concentration, nausées, vomissements, diarrhées, dépression, érythèmes et prurit.

Pour les informations posologiques complètes de l’Atripla, consultez le site www.Atripla.com.

À propos de Gilead Sciences

Gilead Sciences est une société biopharmaceutique qui découvre, met au point et commercialise des produits thérapeutiques innovants dans des secteurs où les besoins en médecine restent sans réponse. La mission de la société est de faire progresser, dans le monde entier, les soins chez les patients atteints d’affections mettant leur vie en danger. La société Gilead, dont le siège est installé à Foster City en Californie, est présente en Amérique du Nord, en Europe et en Australie.

Déclarations prévisionnelles

Le présent communiqué de presse contient des déclarations prévisionnelles au sens de la loi PrivateSecurities Litigation Reform Act de 1995, lesquelles sont assujetties à des risques, incertitudes et autres facteurs, notamment la capacité de Gilead à achever le recrutement de participants aux essais cliniques de Phase III pour le Quad et à lancer l’essai clinique de Phase III du cobicistat selon le calendrier prévu à l’heure actuelle. En outre, la société pourrait être confrontée à des problèmes de définition de protocole d’essai clinique, certains résultats des essais cliniques en cours ou de tout autre essai clinique ultérieur du Quad ou du cobicistat pourraient être défavorables, et Gilead pourrait devoir modifier ou retarder lesdits essais cliniques. Gilead pourrait en fin de compte ne pas être en mesure d’obtenir les autorisations de l’agence américaine des médicaments (U.S. Food and Drug Administration) et d’autres organes de réglementation, et par conséquent, la commercialisation du Quad ou du cobicistat pourrait ne pas se matérialiser. Qui plus est, Gilead pourrait prendre la décision stratégique d’arrêter le développement du Quad ou du cobicistat si, par exemple, la société pense que la commercialisation sera difficile par rapport aux autres opportunités dans son pipeline. Ces risques, incertitudes et d’autres facteurs pourraient donner lieu à des différences substantielles entre les résultats réels et ceux auxquels il est fait référence dans les déclarations prévisionnelles. Le lecteur est averti de ne pas se fier à ces déclarations prévisionnelles. Gilead recommande à ses lecteurs de consulter son rapport annuel sur formulaire 10-K pour l’exercice clos au 31 décembre 2009. Gilead invoque la protection de la règle refuge contenue dans la loi Private Securities Litigation Reform Act de 1995 en ce qui concerne les déclarations prévisionnelles. Toutes les déclarations prévisionnelles sont basées sur des informations dont Gilead dispose actuellement, et la société rejette toute obligation de mise à jour de ces déclarations prévisionnelles quelles qu’elles soient.

Les informations posologiques complètes pour le Truvada aux États-Unis sont disponibles sur www.Truvada.com.

Les informations posologiques complètes pour l’Atripla aux États-Unis sont disponibles sur www.Atripla.com.

Les informations posologiques complètes pour le Viread aux États-Unis sont disponibles sur www.Viread.com.

Les informations posologiques complètes pour l’Emtriva aux États-Unis sont disponibles sur www.GileadHIV.com.

Les informations posologiques complètes pour l’Hepsera aux États-Unis sont disponibles surwww.Hepsera.com.

Truvada, Viread, Emtriva et Hepsera sont des marques déposées de Gilead Sciences, Inc.

Atripla est une marque déposée de Bristol-Myers Squibb & Gilead Sciences, LLC.

Pour de plus amples informations sur Gilead Sciences, veuillez consulter le siteWeb de la société à l’adresse www.gilead.com ou appeler le service Relations publiques de Gilead au 1-800-GILEAD-5 ou 1-650-574-3000.

Le texte du communiqué issu d’une traduction ne doit d’aucune manière être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse foi est celle du communiqué dans sa langue d’origine. La traduction devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

CONTACT:

Gilead Sciences, Inc.Susan Hubbard, 650-522-5715 (Investisseurs)Erin Rau, 650-522-5635 (Médias)

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