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Diabète de type 2

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Prévention du diabète de type 2 : la modification des habitudes de vie est plus efficace que la metformine

Caducee.net, le 07/02/2002 : Un essai randomisé a comparé deux approches destinées à réduire le risque de développer un diabète de type 2 chez des personnes à risque. Un programme de perte de poids couplé à des exercices physiques réguliers permet de réduire de 58 % l'incidence des cas de diabète de type 2 par rapport au placebo. Un traitement par metformine a réduit l'incidence de 31 %. […].

Les données de référence d'une étude observationnelle européenne souligne les caractéristiques des patients atteints de diabète de type 2 débutant la prise d'insuline

PR Newswire, le 20/09/2007 : AMSTERDAM, Pays-Bas, September 20 /PRNewswire/ -- Amylin Pharmaceuticals, Inc. (NASDAQ : AMLN) et Eli Lilly and Company (NYSE : LLY) ont annoncé aujourd'hui les données de référence de INSTIGATE, une étude de 24 mois présentée au 43ème congrès annuel de l'Association européenne de l'étude du diabète (EASD) à Amsterdam, aux Pays-Bas. Les résultats de l'étude indiquent que les personnes atteintes de diabète de type 2 en Europe avaient débuté la prise d'insuline à un HbA1c moyen de 9,6 pour cent, alors que plus de 12 mois avant le début de la prise le HbA1c moyen était de 8,3 pour cent. La Fédération internationale du diabète recommande un HbA1c cible de 6,5 pour cent ou moins.(1) L'étude INSTIGATE est une étude observationnelle prospective continue visant à rassembler des données sur les médicaments du diabète, les résultats cliniques, le coût et la qualité de vie en rapport avec la santé et l'utilisation de ressources lorsque les patients atteints de diabète de type 2 débutent la prise d'insuline, au cours des six mois précédent le début de la prise et pendant les deux années suivantes. […].

Risque de diabète de type 2 : un gène identifié

Caducee.net, le 16/01/2006 : Un variant du gène « transcription factor 7-like 2 gene » (TCF7L2) est associé à une augmentation du risque de diabète de type 2. Ce risque serait plus de deux fois plus élevé chez les porteurs homozygotes de l’allèle en question, comparés aux non porteurs. […].

Un gène de prédisposition pour le diabète de type 2 a été identifié

Caducee.net, le 28/09/2000 : Le travail de plusieurs équipes de chercheurs américains a permis de caractériser un gène impliqué dans la prédisposition au diabète non insulino-dépendant. Cette découverte ne signifie en aucune façon que le gène du diabète de type 2 a été identifié. Cette maladie multifactorielle est le résultat de l'interaction de plusieurs gènes et de divers facteurs environnementaux. Des variations génétiques sur ce nouveau gène, dénommé CAPN10, semblent associées au développement du diabète non insulino-dépendant. […].

Fénofibrate et diabète de type 2 : réduction modérée du risque cardiovasculaire

Caducee.net, le 14/11/2005 : Un essai randomisé vient de préciser les effets du fénofibrate chez les patients avec un diabète de type 2. On note une réduction du risque combiné d’infarctus du myocarde (IDM), d’accident vasculaire cérébral (AVC) et de pontage aortocoronaire, mais le risque de décès par maladie coronarienne et d’IDM non fatal n’est pas diminué. […].

Des souris transgéniques qui surexpriment l’IGF-II dans les cellules bêta pancrétiques développent un diabète de type 2

Caducee.net, le 04/04/2000 : La surexpresion d’IGF-II (insulin-like growth factor-II) par les cellules bêta des îlots pancréatiques peut entraîner un diabète de type 2 chez la souris. L’hyperplasie des ilôts et l’hypersécrétion d’insuline peuvent survenir précocement dans la pathogénèse de cette maladie, rapportent des chercheurs de l’Université autonome de Barcelone dans le dernière livraison du Journal of Clinical Investigation. […].

Du café pour réduire le risque de diabète de type 2 ?

Caducee.net, le 08/11/2002 : Des chercheurs néerlandais estiment qu’une consommation importante de café peut contribuer à réduire le risque de développer un diabète de type 2. Ces auteurs se basent sur les données de plus de 17000 hollandais. […].

Modes de vie et alimentation : effets combinés de deux facteurs de risque sur la survenue de diabète de type 2.

Caducee.net, le 13/09/2001 : Il est reconnu que le diabète de type 2 est associé à un certain nombre de facteurs relatifs soit à l’alimentation soit au mode de vie. En revanche l’effet combiné de ces facteurs n’a encore jamais été réellement évalué. […].

Traitement du diabète de type 2 par le GLP-1

Caducee.net, le 11/03/2002 : Le Glucagon-like peptide 1 (GLP-1) est une hormone intestinale naturelle, sécrétée en association avec l’insuline, et retrouvée à bas taux chez les diabétiques de type 2. Dans cet essai clinique avec placebo, le traitement des patients atteints de diabète de type 2 par le GLP-1, a abouti à un bénéfice clinique (métabolique et fonctionnel) observé sur la durée de l’étude. […].

Une étude américaine fait le point sur l’hypertension et la thérapie antihypertensive en tant que facteurs de risques du diabète de type 2

Caducee.net, le 30/03/2000 : Des médecins et épidémiologistes de la Faculté de médecine Johns Hopkins (Baltimore, Maryland, USA) et de l’Ecole de santé publique de l’Université du Minnesota à Minnneapolis,ont menée une étude afin de savoir si les thiazidiques et les bêta-bloquants peuvent stimuler après un délai 6 ans le développement d’un diabète de type 2. Au terme d’une étude prospective menée auprès de 12550 adultes non diabétiques, il apparaît au vu des résultats publiés dans le dernier numéro du New England Journal of Medicine (NEJM) que les inquiétudes sur le risque de survenue d’un diabète ne devraient pas empêcher les médecins de prescrire des thiazidiques à des adultes non diabétiques hypertendus. Ces auteurs montrent également par ailleurs que l’emploi de bêta-bloquants semble en revanche augmenter le risque de diabète, mais que cet effet secondaire doit « être évalué par rapport aux bénéfices prouvés de réduction du risque de survenue d’un événement cardiovasculaire ». […].

Le diabète de type 2 lié à un environnement prénatal diabétique

Caducee.net, le 30/05/2003 : Une étude préliminaire publiée dans le Lancet indique que les enfants nés de mères avec un diabète de type 1 auraient un risque plus élevé de développer un diabète de type 2 à l’âge l’adulte, même en absence de transmission d’un caractère héréditaire du diabète de type 1 ou 2. […].

Après un an, les patients atteints de diabète de type 2 prenant de l'exenatide une fois par semaine présentaient des améliorations soutenues du contrôle de la glycémie et du poids ; les résultats de l'essai DURATION-1 ont été présentés à l'occasion de l'ADA 2008

PR Newswire, le 10/06/2008 : SAN FRANCISCO, June 10 /PRNewswire/ -- Amylin Pharmaceuticals, Inc. (Nasdaq : AMLN), Eli Lilly and Company (NYSE : LLY) et Alkermes, Inc. (Nasdaq : ALKS) ont annoncé aujourd'hui les résultats d'une étude clinique ouverte de 52 semaines ayant démontré l'efficacité à long terme du traitement hebdomadaire par l'exenatide, une préparation d'exenatide à libération prolongée. Les patients prenant de l'exenatide une fois par semaine pendant un an présentaient une amélioration comparable du contrôle de la glycémie [HbA1c : -2,0 % +/- 0,08 ; glycémie à jeun (FPG) -2,61 +/- 0,17 mmole/L], comparativement aux patients recevant le traitement pendant 30 semaines [l'HbA1c s'éloigne de la ligne de référence : 1,9 % +/- 0,08 (moyenne des moindres carrés +/- erreur-type)]. L'étude a également permis de démontrer que les patients qui, après 30 semaines, sont passés de BYETTA(R) (exenatide) administré deux fois par jour par voie d'injection à l'exenatide administré une fois par semaine présentaient des améliorations supplémentaires de l'HbA1c et de la glycémie à jeun. À 52 semaines, 72 % de tous les patients ayant participé à l'étude avaient atteint une HbA1c finale de 7 % ou moins. D'un point de vue statistique, les patients des deux groupes de traitement ont enregistré une importante perte de poids à long terme de 4,3 kilogrammes en 52 semaines. Ces résultats ont été présentés à l'occasion des 68es sessions scientifiques annuelles (68th Annual Scientific Sessions) de l'American Diabetes Association (ADA), à San Francisco. […].

HAS : Stratégie médicamenteuse du contrôle glycémique du diabète de type 2

HAS, le 19/02/2013 : La HAS publie une recommandation de bonne pratique  visant à améliorer la qualité de la prise en charge des patients adultes atteints d’un diabète de type 2 par un meilleur contrôle glycémique.Cette RBP traite trois questions principales :    - la définition des objectifs glycémiques cibles ;    - la définition d’une stratégie médicamenteuse du contrôle glycémique ;    - la place de l’autosurveillance glycémique. […].

Réduire le risque de diabète de type 2 en modifiant le mode de vie

Caducee.net, le 03/05/2001 : Chez des personnes qui présentent un risque important de développer un diabète non insulino-dépendant, des programmes destinés à modifier les habitudes alimentaires et à encourager l'activité physique permettent de réduire ce risque de façon significative. […].

Le passage à l'insuline icodec expérimentale à prise hebdomadaire à partir d'autres insulines basales s'avère efficace et bien toléré chez les personnes atteintes de diabète de type 2 au cours d'un essai de phase II

Novo Nordisk, le 24/09/2020 : Le premier a montré que le passage à l'insuline icodec à partir d'autres insulines basales, à l'aide de deux méthodes de transition différentes, était efficace et bien toléré par rapport à l'insuline glargine U100 à prise quotidienne, et que les méthodes de transition ne présentaient pas de risque accru d'épisodes hypoglycémiques importants ou graves sur le plan clinique comparativement à l'insuline glargine U100 à prise quotidienne.1 […].

Poids à la naissance, croissance durant l'enfance et risque de diabète non insulinodépendant

Caducee.net, le 07/08/2000 : Un faible poids à la naissance est associé à un risque accru de développer un diabète de type 2. Ce risque en encore plus marqué si ces enfants ont une croissance rapide entre 7 et 15 ans, révèle une étude finlandaise parue dans Annals of Internal Medicine. Les résultats de cette étude sont en accord avec l'hypothèse selon laquelle le diabète de type 2 serait programmé in utero en réponse à une croissance fœtale ralentie. […].

Traitement du diabète et augmentation du risque de dépression

Caducee.net, le 24/06/2008 : Des travaux publiés cette semaine dans le JAMA indiquent que les personnes soignées pour un diabète de type 2 présentent un risque plus élevé de développer des symptômes dépressifs. D’un autre côté, une association plus modeste a été retrouvée chez les personnes dépressives pour le risque de développer un diabète de type 2. Les auteurs mettent notamment en avant des facteurs psychologiques et comportementaux pour expliquer cette association à double sens. […].

Epidémie de diabète de type 2: il y a urgence dans la prise en charge précoce du malade

Caducee.net, le 12/03/2002 : Devant l’ampleur du nombre de personnes souffrant, parfois sans le savoir, d’un diabète de type 2 (près de 3 millions en France), les médecins endocrinologues et diabétologues présents au Medec pour une journée sur le sujet, tirent la sonnette d’alarme, avant que cette maladie ne devienne «ingérable», selon les termes de Philippe Passa (Hôpital Saint-Louis, Paris). Maladie du monde moderne, cette pathologie évolutive, souvent sans symptômes apparents immédiats, est mal appréhendée par la population, qui rejette souvent l’idée d’un traitement à vie qu’elle engendre à long terme. L’urgence pour les spécialistes est de dépister plus précocement l’apparition du diabète de type 2 dans la population générale et de mieux coordonner la prise en charge des malades. […].

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