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Motoneurones

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Des souris comme modèles de maladies humaines des motoneurones du nerf phrénique

Caducee.net, le 07/07/2000 : Des chercheurs danois annoncent être parvenus à étudier des motoneurones du nerf phrénique en utilisant des modèles murins de maladie du motoneurone. Ces résultats préliminaires, publiés dans la Revue neurologique, indiquent que chez les souris saines les motoneurones du nerf phrénique diffèrent des autres motoneurones par leurs propriétés moléculaires, ce qui peut rendre compte de l’atteinte préférentielle de certains motoneurones chez l’animal et éventuellement chez l’homme. […].

Différenciation orientée et fonctionnelle de motoneurones à partir de cellules souches embryonnaires

Caducee.net, le 19/07/2002 : Selon les chercheurs de l’université de Columbia qui ont réalisé, in vitro, à partir de cultures de cellules souches embryonnaires de souris, une différenciation de ces dernières en motoneurones fonctionnels, ces expériences ont toutes les chances d’être transposées à des cellules embryonnaires humaines. Publiés immédiatement sur le site internet de la revue Cell, ces résultats montrent le protocole d’obtention de motoneurones induits par l’ajout, à des temps et à des concentrations déterminés, de facteurs de différenciation, comme cela se passe probablement in vivo. […].

Sclérose latérale amyotrophique : sur la piste du VEGF et de l'hypoxie

Caducee.net, le 30/05/2001 : Des chercheurs belges apportent de nouveaux éléments sur l'origine de la sclérose latérale amyotrophique. Leurs travaux indiquent que la dégénérescence sélective des motoneurones à l'âge adulte peut être causée par une dérégulation de l'expression du VEGF (vascular endothelial growth factor). Cette dérégulation engendrait une diminution du réseau vasculaire autour des neurones. […].

Sclérose latérale amyotrophique (SLA) : un mécanisme à deux temps

Caducee.net, le 04/06/2006 : De nouveaux travaux publiés dans la revue Science démontrent que les phases d’initiation et de progression de la SLA obéissent à deux populations cellulaires distinctes : les motoneurones dans le cas de l’initiation et les cellules de la microglie dans la progression. Ces résultats apportent aussi de nouveaux éclairages sur les voies thérapeutiques potentielles. […].

La sclérose latérale amyotrophique

E.Faure, le 15/10/2002 : La Sclérose latérale amyotrophique aussi appelée en France maladie de Charcot du nom de celui qui la décrit pour la première fois en 1865, est une maladie neurodégénérative d'étiologie inconnue touchant les motoneurones de la corne antérieure de la moelle épinière, du tronc cérébral et du cortex. Les localisations anatomiques de la dégénérescence rendent compte de la symptomatologie neurologique uniquement motrice. C'est une affection mortelle et incurable : le décès survient en moyenne dans les deux à cinq ans suivant le diagnostic et est d û, dans la grande majorité des cas, à un trouble respiratoire, aggravé par une surinfection bronchique. […].

La sclérose latérale amyotrophique

E.Faure, le 15/10/2002 : La Sclérose latérale amyotrophique aussi appelée en France maladie de Charcot du nom de celui qui la décrit pour la première fois en 1865, est une maladie neurodégénérative d'étiologie inconnue touchant les motoneurones de la corne antérieure de la moelle épinière, du tronc cérébral et du cortex. Les localisations anatomiques de la dégénérescence rendent compte de la symptomatologie neurologique uniquement motrice. C'est une affection mortelle et incurable : le décès survient en moyenne dans les deux à cinq ans suivant le diagnostic et est d û, dans la grande majorité des cas, à un trouble respiratoire, aggravé par une surinfection bronchique. […].

L’accumulation de certains lipides participe à l’évolution de la sclérose latérale amyotrophique

Caducee.net, le 26/08/2002 : Des chercheurs de l’université Johns Hopkins à Baltimore (Maryland, EU) ont mis en évidence dans un modèle murin de sclérose latérale amyotrophique (SLA) que le métabolisme de certains lipides était anormal dans la moelle épinière, provoquant l’accumulation d’esters de cholestérol et de glycosphingolipides, observée avant l’arrivée des premiers symptômes cliniques de la maladie. […].

Du nouveau dans la compréhension de la mort neuronale observée dans la sclérose latérale amyotrophique

Caducee.net, le 11/03/2002 : Des chercheurs de l’université Johns Hopkins (San Diego, Californie, EU) ont montré, dans un modèle murin de sclérose latérale amyotrophique (SLA ou maladie de Lou Gehrig), que c’est l’accumulation de la forme mutée du gène impliqué dans environ 2,5% des formes familiales de SLA, la superoxyde dismutase (SOD), qui est à l’origine des symptômes de la maladie, et non son absence d’activité. […].

Deux gènes à l’origine du développement neuronal

Caducee.net, le 02/04/2002 : Les oligodendrocytes, ces cellules gliales autour desquelles s’organisent le réseau de neurones et leurs connections, viennent de dévoiler un peu plus leur fonction. Des chercheurs de l’institut du cancer Dana Farber (Boston, Massachusetts, EU) ont mis en évidence comment deux gènes, Olig 1 et 2, permettent à ces cellules de gouverner à distance l’élaboration du système nerveux. Ces recherches sont d’une grande importance pour la compréhension des maladies touchant le système nerveux central (SNC). […].

I-STEM réalise des premiers criblages sur des cellules souches pour identifier des molécules actives sur la dystrophie myotonique de type 1

PR Newswire, le 19/03/2009 : EVRY, France, March 19 /PRNewswire/ -- Quatre équipes de recherche d'I-STEM[1] ont allié leurs forces dans un projet collaboratif et viennent juste de réussir un premier essai pilote de criblage thérapeutique de molécules chimiques et d'ARN interférents pour la dystrophie myotonique de type 1. Cette étude réalisée à I-STEM a porté sur la capacité de ces molécules chimiques ou biologiques à corriger les anomalies pathologiques observées dans des cellules souches embryonnaires porteuses de l'anomalie génétique responsable de la dystrophie myotonique de type 1. Fort du succès de ce premier essai, des campagnes de criblages à plus large échelle sont prévues en 2009. […].

Vers des benzodiazépines dénuées d’effets indésirables

Caducee.net, le 21/10/1999 : Des chercheurs suisses rapportent dans Nature que les benzodiazépines exercent leurs multiples effets, recherchés et indésirables, par l’intermédiaire de différents sous-types spécifiques du récepteur GABA. Ces résultats permettent pour la première fois d’envisager, par une approche rationnelle, des stratégies thérapeutiques plus ciblées potentiellement dépourvues de certains effets secondaires. […].

Des cellules souches embryonnaires pour traiter des paralysies

Caducee.net, le 20/06/2006 : Des neurones moteurs obtenus à partir de cellules souches embryonnaires ont été transplantés chez des rats pour restaurer une connexion neuromusculaire. L’approche a permis de restaurer une fonction partielle chez les animaux paralysés. […].

Des réarrangements chromosomiques liés à la sclérose latérale amyotrophique

Caducee.net, le 01/05/2003 : Les causes profondes de la majorité des cas de sclérose latérale amyotrophique (SLA) sont inconnues. De nouvelles informations laissent penser que des réarrangements chromosomiques sont impliqués dans certains cas de la maladie. […].

Une greffe de cellules souches dans la moelle épinière permet de restaurer une motricité chez des souris paralysées

Caducee.net, le 06/11/2000 : Des scientifiques de l'Université Johns Hopkins de Baltimore ont utilisé avec succès une greffe de cellules souches pour restaurer des fonctions motrices chez des rongeurs rendus expérimentalement paralysés. Selon les auteurs de ce travail, cette approche pourrait se révéler prometteuse dans le traitement des maladies du motoneurone, telles que la sclérose latérale amyotrophique ou l'amyotrophie spinale. […].

Mutation d'un transporteur du glutamate et dégénérescence du motoneurone dans la sclérose latérale amyotrophique (SLA)

Caducee.net, le 17/10/2000 : Des chercheurs américains viennent de démontrer qu'une mutation d'un transporteur du glutamate (GLT1), retrouvée chez des patients atteints de SLA, participe à la dégénérescence du motoneurone. […].

Sclérose latérale amyotrophique et démence fronto-temporale : Une région du chromosome 9 mise en cause

Caducee.net, le 04/10/2000 : Certains patients peuvent présenter simultanément deux maladies neurodégénératives. En étudiant le profil génétique de familles de malades, des chercheurs et médecins américains ont pu montrer qu'une région du chromosome 9 (9q21-q22) était impliquée dans la présentation simultanée de la sclérose latérale amyotrophique (SLA) et de la démence fronto-temporale (DFT). […].

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