AINS et Alzheimer : pas d’effet significatif

Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) tels que le rofecoxib ou le naproxen ne ralentissent pas le déclin cognitif des patients avec une forme légère ou modérée de maladie d’Alzheimer.

Divers travaux ont mis en avant le rôle de mécanismes inflammatoire dans les dommages neuronaux de la maladie d’Alzheimer.

Une étude parue dans le JAMA a évalué l’intérêt de deux AINS, le rofecoxib et le naproxen, chez des patients avec des formes légères à modérées d’Alzheimer. Un autre groupe prenait un placebo.

A un an, les auteurs n’ont pas noté de différence entre les groupes lors de l’évaluation des fonctions cognitives des patients.

Source : JAMA. 2003;289:2865-2867

Descripteur MESH : Maladie d'Alzheimer , Patients , Maladie , Placebo , Rôle

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