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Empathie

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Peut-on partager une douleur que l'on n'a jamais éprouvée ?

Caducee.net, le 09/02/2009 : Nicolas Danziger (Unité Inserm 713 "Douleur et stress", Hôpital Pitié-Salpêtrière, Paris) et ses collègues Isabelle Faillenot et Roland Peyron (Unité Inserm 879, St Etienne) ont cherché à comprendre à l'aide de l'imagerie fonctionnelle par résonance magnétique (IRMf) comment des personnes congénitalement insensibles à la douleur sont susceptibles d'imaginer la douleur d'autrui.  Les régions cérébrales mises en jeu à la vue de photographies montrant des parties du corps dans diverses situations douloureuses ont été enregistrées chez des patients atteints d'une insensibilité congénitale à la douleur (ICD)* et des sujets témoins. Les chercheurs ont en particulier cherché à comparer entre ces deux groupes les liens éventuels entre l'activité cérébrale évoquée par ces images et les capacités d'empathie de l'observateur. Le détail des résultats de cette étude est publié dans la revue Neuron datée du 29 janvier 2009. […].

Affaire Lévothyrox, un pharmacologue dézingue la nouvelle formule

Caducee.net, le 24/05/2018 : Dans une interview donnée au site lesjours.fr le Dr Pierre-Alain VITTE met en doute la stabilité de la nouvelle formule du Lévothyrox, ce qui expliquerait la plupart des effets secondaires dont se plaignent de nombreux patients. Pour étayer son propos, il dénonce le choix de l'acide citrique comme excipient et met en avant des méthodes de fabrication trop complexes pour un principe actif particulièrement fragile. Il pointe également du doigt dans une synthèse écrite qui sera produite devant les tribunaux les multiples biais dont souffre l'étude de bioéquivalence qui a permis la mise sur le marché de la nouvelle formule. […].

Syndrome de Diogène : une origine émotionnelle

Noémie Parsis, le 01/06/2022 : Le syndrome de Diogène est un trouble du comportement qui pousse souvent les personnes qui en souffrent à accumuler les objets, négliger leur corps et leur logement ainsi qu’à s’isoler socialement. Il est cependant important de noter qu’il n’y a pas encore de réel consensus sur le sujet et qu’il reste un trouble très complexe et rare. […].

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