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Cancers du sein. Et si leur pouvoir invasif était latent dès le début de leur développement

Caducee.net, le 08/04/2008 : Pourquoi certains cancers sont-ils plus agressifs que les autres ? C'est la question à laquelle ont voulu répondre, à l'Institut Curie, des chercheurs de l'Inserm et des médecins, en étudiant le profil biologique d'une forme de cancer du sein. Résultats étonnants : l'agressivité tumorale semble déterminée dès les toutes premières cellules tumorales et la diversité biologique observée dans les cancers invasifs existe déjà dans les formes localisées. Ces résultats pourraient permettre de mieux définir des sous-populations de cancers localisés et adapter le traitement en fonction des risques associés. Mais avec ces travaux publiés dans Clinical Cancer Research du 1er avril, la question de l'origine de l'agressivité des cellules tumorales reste entière : si elle n'émane pas des modifications biologiques acquises dans le temps par les cellules tumorales, comment se déclenche la capacité invasive ? […].

ExonHit annonce la validation de sa plateforme technologique SpliceArray(TM) dans le cancer du sein

PR Newswire, le 16/03/2009 : PARIS, March 16 /PRNewswire/ -- ExonHit Therapeutics (Alternext : ALEHT) annonce aujourd'hui la publication, sur le site de Lancet Oncology, d'une étude menée par l'Institut Gustave Roussy, identifiant un dérèglement des fonctions cellulaires dans le cancer du sein par l'analyse de l'épissage alternatif de l'ARN (1). Les données de l'étude démontrent que les exons s'expriment différemment dans les lésions malignes et bénignes, et que les variants d'épissage alternatif identifiés sont spécifiques des tumeurs malignes du sein. […].

La différence génétique entre l’homme et le chimpanzé serait d’ordre quantitative plutôt que qualitative

Caducee.net, le 12/04/2002 : Avec près de 99% de gènes en communs, l’homme et la chimpanzé diffèrent cependant beaucoup en ce qui concerne leur morphologie, leur comportement et bien entendu leurs capacités intellectuelles. Une équipe de recherche internationale a mis en évidence, en comparant les profils d’expression génétique entre primates et humains dans différents organes, que les différences résidaient essentiellement dans la qualité d’expression des gènes, plus particulièrement dans le cerveau où les chercheurs se sont aperçus que les variations évolutives s’étaient précipitées. […].

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