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Lymphome B
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Présentation à l'ASH des données cliniques de deux études de phase II évaluant l'administration de REVLIMID® en association avec le rituximab chez des patients atteints de lymphome non hodgkinien indolent
Businesswire, le 07/12/2010 : Dans la première étude, le traitement au lénalidomide et à la dexaméthasone à faible dose associée au rituximab a été évalué sur des patients atteint de lymphome B indolent récurrent ou réfractaire ou de lymphome à cellules du manteau auparavant résistant au rituximab. L'étude de phase II a présenté un taux de réponse globale (ORR) moyen de 58 % (14/24) avec un suivi médian de 13,3 mois (3,1-28,8). Les réponses par sous-type spécifique de cancer se sont étendues de 67 % (2/3) d'ORR chez les patients atteints d'un petit lymphome lymphocytique à 60 % (9/15) d'ORR chez les patients atteints d'un lymphome nodulaire et 60 % (3/5) d'ORR chez les patients atteints d'un lymphome à cellules du manteau. […].
Lymphomes B diffus à grandes cellules : les bons résultats de la combinaison CHOP + rituximab
Caducee.net, le 24/01/2002 : Le rituximab est un anticorps monoclonal dirigé contre l'antigène CD20 porté par la quasi-totalité des lymphomes. Chez des patients âgés avec un lymphome B diffus à grandes cellules, la combinaison CHOP + rituximab donne de meilleurs résultats (taux de réponse complète, survie globale et survie sans évènement) que la chimiothérapie CHOP seule. […].
Lymphomes B diffus à grandes cellules : les microarrays comme outil pronostique ?
Caducee.net, le 26/12/2001 : Dans le numéro de janvier 2002 de Nature Medicine, Shipp et al. décrivent comment les puces à ADN peuvent aider au pronostic des cancers. En analysant par cette technique 58 patients avec un lymphome B diffus à grandes cellules, les auteurs ont pu classer les patients en deux catégories : taux de survie à 5 ans de 70 % et taux de survie à 5 ans de 12 %. Cette approche aurait une meilleure efficacité pronostique que l'index pronostique international. […].
Un nouveau traitement du syndrome lymphoprolifératif post-greffe rénale destiné à mobiliser les lymphocytes T CD8+
Caducee.net, le 13/06/2002 : Le syndrome lymphoprolifératif post-greffe (PTLD), une complication rencontrée chez 1 à 2% des greffés rénaux, se traduit par un lymphome B associé à la présence du virus Epstein-Barr (EBV). Une recherche américaine multidisciplinaire qui a suivi plusieurs cas de PTLD, montre que le PTLD peut être traité sur le long terme par une réduction rapide des doses d’immunosuppresseurs utilisés pour combattre le rejet de greffe, tout en combattant le virus EBV par l’utilisation d’acyclovir. […].
Les derniers résultats évaluant les avantages cliniques de la monothérapie REVLIMID® sur le lymphome non-Hodgkinien agressif récidivant/réfractaire sont présentés à la Société américaine d'hématologie
Businesswire, le 09/12/2008 : Le LBGC, qui est une forme agressive et le sous-type le plus répandu de LMNH, représente environ un tiers des nouveaux cas de LMNH diagnostiqués. […].
Cellules CAR-T : le traitement des cancers du sang au seuil d'une importante révolution
LYSA, le 15/11/2017 : La mise sur le marché aux Etats-Unis des deux premières thérapies géniques fondées sur la technologie des cellules CAR-T consistant à utiliser les propres cellules immunitaires génétiquement modifiées du patient pour détruire les cellules tumorales, constituent une possible révolution pour le traitement des cancers du sang. […].
Polyarthrite rhumatoïde : les résultats intéressants de l’association d’un anticorps monoclonal anti-TNF au méthotrexate
Caducee.net, le 06/12/1999 : Chez des patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde incomplètement contrôlée par le méthotrexate, l'adjonction d'un anticorps monoclonal anti-TNF alpha à ce traitement permet d'améliorer la symptomatologie, indiquent les résultats d’un vaste essai international de phase III publié dans le Lancet. […].
Transplantation des deux mains : le principal défi est celui de l’immunosuppression
Caducee.net, le 14/01/2000 : Le principal défi de la première mondiale chirurgicale qu’a réalisée jeudi l’équipe internationale dirigée par le Pr Jean-Michel Dubernard à Lyon est avant tout lié au traitement immunosuppresseur que devra suivre à vie le patient doublement greffé. […].
Le schéma thérapeutique à comprimé unique « Quad » de Gilead pour le traitement du VIH maintient une suppression virale élevée pendant 48 semaines dans une étude de Phase II
Businesswire, le 16/09/2010 : Les données de 48 semaines de cette étude de Phase II (Étude 236-0104) étendent les résultats positifs de 24 semaines annoncés en février 2010 lors de la Conférence sur les rétrovirus et les infections opportunistes (CROI). Les taux d’innocuité, de tolérabilité et d’abandon étaient similaires entre les deux bras de l’étude, mais les événements indésirables du système nerveux central (SNC), y compris les rêves anormaux/cauchemars, les étourdissements et l’anxiété, étaient moins nombreux chez les patients recevant le Quad que chez ceux recevant l’Atripla. […].
Présentation, lors du congrès annuel de l'ASCO, de données relatives à l'association du REVLIMID® et du Rituxan® pour le traitement du lymphome à cellules B non hodgkinien indolent non traité
Businesswire, le 06/06/2010 : Les patients ayant participé à l'étude étaient atteints d'un LNH indolent de stade III ou I non traité mesurable (>1,5 cm). 87 % des 30 patients pour lesquels les scores de l'index pronostique international des lymphomes folliculaires(FLIPI) étaient disponibles, étaient classifiés à risque intermédiaire ou élevé et, pour 73 % d'entre eux, la moelle osseuse était atteinte. Les patients ont été traités avec une dose quotidienne de 20 mg de lénalidomide aux jours 1 à 21 tous les 28 jours et avec une dose de 375 mg/m2 de rituximab au jour 1 de chaque cycle, pendant 6 cycles. […].
Un essai présenté à la Société américaine d'hématologie décrit l'activité de REVLIMID® sur des patients atteins de lymphome à cellule manteau récédivant/réfractaire
Businesswire, le 09/12/2008 : Le LCM est une forme agressive du cancer du sang représentant environ six pour cent des cas de LMNH, soit 4 500 cas par an aux États-Unis. Cette première analyse des résultats de l’essai NHL-003 s'intéresse à trente-neuf patients atteints de LCM enrôlés dans l’essai, évaluables et dont la réponse doit être déterminée à l'arrêt des données. Ces patients évaluables avaient été lourdement prétraités par un nombre médian de trois thérapies. […].