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Addiction

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L'éthanol et la cocaïne stimulent la production d'endorphines dans le nucleus accumbens

Caducee.net, le 26/12/2001 : Il est clairement établi que la consommation de drogues augmente le niveau de dopamine dans le nucleus accumbens et que cette augmentation joue un rôle important dans les processus de récompense qui sous-tendent les conduites addictives. De nouvelles recherches menées chez le rat montrent que la libération d'endorphines en réponse à la prise de psychostimulants pourrait elle aussi contribuer à l'établissement de la dépendance. […].

Un anticonvulsivant pour traiter la dépendance à la cocaïne ?

Caducee.net, le 22/09/2003 : Le gamma vinyl-GABA (GVG) utilisé dans le traitement de l’épilepsie pourrait aussi se révéler être efficace dans la prise en charge des comportements addictifs à la cocaïne. […].

Le stress

F.Campagne, le 15/11/2000 : Depuis la fin des années 1950, dans les pays industriels, la fréquence des effets pathologiques du stress augmente dans l'ensemble de la population. Engendré par l'ensemble des contraintes que nous subissons chaque jour, il serait à l'origine de la plupart des maladies coronariennes, des ulcères à l'estomac ou encore de dépressions et de l'absentéisme. […].

Le stress

F.Campagne, le 15/11/2000 : Depuis la fin des années 1950, dans les pays industriels, la fréquence des effets pathologiques du stress augmente dans l'ensemble de la population. Engendré par l'ensemble des contraintes que nous subissons chaque jour, il serait à l'origine de la plupart des maladies coronariennes, des ulcères à l'estomac ou encore de dépressions et de l'absentéisme. […].

Une à quatre cigarettes par jour augmente de façon marquée le risque cardiovasculaire et de cancer du poumon

Caducee.net, le 23/09/2005 : Fumer jusqu’à quatre cigarettes par jour fait presque tripler le risque de pathologie cardiovasculaire et de cancer du poumon, révèle une étude parue dans la revue Tabacco Control. […].

Les effets secondaires de la méthamphétamine sont partiellement réversibles

Caducee.net, le 03/12/2001 : La consommation de méthamphétamine détournée de son usage médical connaît un succès croissant aux Etats Unis. Cette molécule entraîne chez ses consommateurs une diminution des transporteurs de la dopamine. Selon de nouveaux résultats, des périodes prolongées d'abstinence pourraient renverser cet effet. Cet apparent effet positif ne se traduit pas néanmoins par une amélioration marquée des symptômes cognitifs et moteurs des sujets concernés. […].

Cocaïne : des troubles de l’attention susceptibles de persister

Caducee.net, le 09/04/2003 : Une consommation intensive de stimulants tels que la cocaïne et la méthamphétamine peut conduire à des modifications marquées et prolongées de l’attention et des capacités motrices comme l’habileté. […].

Des récepteurs de la dopamine sont étroitement liés aux comportements alcooliques

Caducee.net, le 17/09/2001 : Pour la première fois, des chercheurs ont montré chez le rat que la surexpression des récepteurs D2 de la dopamine (DRD2) réduisaient la consommation d'alcool chez des rats rendus artificiellement alcooliques. Ces nouvelles données confirment l'intérêt des recherches menées sur la dopamine dans le cadre des traitements contre l'alcoolisme. […].

Sécurité routière : bientôt un dépistage des stupéfiants

Caducee.net, le 29/08/2001 : Hier, à Paris, Bernard Kouchner et Jean Luc Gayssot ont annoncé la mise en place, au 1 er octobre, du dépistage systématique des stupéfiants chez les conducteurs impliqués dans un accident mortel, clôturant ainsi les décrets d’application de la loi du 18 juin 99 relative à la sécurité routière. […].

L'octanol, une piste pour la prévention du syndrome d'alcoolisme fœtal

Caducee.net, le 18/05/2001 : Des travaux réalisés chez la souris indiquent que le 1-octanol permet de contrer l'effet tératogène de l'éthanol à l'origine du syndrome d'alcoolisme fœtal (SAF). Selon les chercheurs, ces résultats ouvrent la voie au développement de nouvelles stratégies pharmacologiques. […].

Le tabagisme augmenterait le risque de troubles anxieux chez le jeune adulte

Caducee.net, le 08/11/2000 : Fumer plus de 20 cigarettes par jour accroît le risque d'agoraphobie, d'anxiété généralisée et d'attaque de panique chez le jeune adulte. Ceci est la conclusion d'une étude américaine qui a examiné le lien de causalité entre le tabagisme chez les adolescents et les troubles de l'anxiété chez les jeunes adultes. […].

SmithKline Beecham récompensé pour son patch nicotinique

Caducee.net, le 28/11/2000 : Le patch nicotinique NiQuitin® a été récompensé pour sa campagne de communication par l'attribution du Grand Prix 2000 et le prix Empreintes de la communication OTC, tous deux décernés par la délégation santé de l'Association des Agences de Conseil en Communication. […].

Arrêt du tabac : les thérapies associées donnent de meilleurs résultats

Caducee.net, le 14/11/2000 : L'administration de nicotine par plusieurs formes peut faciliter l'arrêt du tabac à court et à long terme. Une étude vient de montrer que l'utilisation simultanée d'aérosols à la nicotine et de timbres nicotiniques donne de meilleurs résultats que les aérosols seuls. […].

Les politiques de réduction des effets nocifs sont essentielles pour améliorer la santé des Européens

Businesswire, le 20/05/2022 : De récentes données montrent que la pandémie a causé une augmentation des comportements addictifs liés à l'alcool, au jeu, au tabagisme et aux dispositifs numériques parmi les Européens. Reposant sur les meilleures données scientifiques disponibles, le rapport BECA a reconnu l'importance des politiques de réduction des effets nocifs et de l'utilisation des produits qui y contribuent comme les cigarettes électroniques. Le groupe de discussion a fait écho aux recommandations du rapport et le professeur Viktor Mravčík, responsable scientifique de l'Institute of Rational Addiction Policies, a déclaré : « La réduction de la nocivité n'est pas suffisamment transposée dans les politiques de lutte antitabac. Cette démarche doit pourtant être encouragée et soutenue grâce à une législation adéquate et à la promotion de produits alternatifs, qui représentent un outil négligé lors des discussions de sevrage tabagique. » […].

MagVenture : Obtention du marquage CE dans le traitement des addictions par neuromodulation cérébrale, les TOC et la dépression avec symptômes d'anxiété

MagVenture, le 10/05/2021 : COPENHAGUE, Danemark, 10 mai 2021 /PRNewswire/ -- MagVenture, entreprise pionnière en appareils médicaux, a obtenu le marquage CE pour le traitement de l'addiction et des troubles obsessionnels compulsifs (TOC). En outre, les thérapies par TMS de MagVenture®  peuvent réduire les symptômes de comorbidité anxieuse chez les patients souffrant de dépression. Ces nouvelles indications élargissent considérablement les options de traitement par TMS proposées par MagVenture après le marquage CE dans les Troubles Dépressifs Majeurs obtenu en 2011. […].

Dépendance à l'héroïne : un gène lié au risque de rechute

Caducee.net, le 31/05/2005 : Le risque de rechute est un des principaux problèmes rencontrés dans les programmes de traitement de l'addiction à l'héroïne. Des chercheurs ont mis en évidence un gène qui semble en partie moduler le comportement lié à la rechute. […].

L'impact sanitaire de l'alcool et du tabac est 10 fois plus élevé que celui des drogues illégales

Caducee.net, le 15/05/2018 : Selon une étude publiée dans la revue "Addiction", l'impact sanitaire de la consommation d'alcool et de tabac est 10 fois plus important que celui des drogues vendues de façon illicite. Et c'est en Europe que les conséquences du tabac et de l'alcool sont particulièrement préoccupantes. […].

Réduire la sur-prescription de benzodiazépines et apparentés : quelles solutions ?

Réduire la sur-prescription de benzodiazépines et apparentés : quelles solutions ?

CNGE, le 15/09/2016 : Les benzodiazépines (BZD) et apparentés sont indiquées dans les troubles anxieux et les troubles du sommeil pour une durée limitée. La balance bénéfice/risque n’est pas favorable en cas d’utilisation régulière de plus de 3 mois : augmentation des accidents de la voie publique, du risque de chutes, addiction et toxicomanie, détournement d’usage, risque de soumission chimique, syndromes de sevrage et possibilité de troubles cognitifs [1,2]. […].

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