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Douleur thoracique

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Les patients avec IDM mais sans douleur thoracique semblent moins bien pris en charge

Caducee.net, le 28/06/2000 : Une étude américaine parue dans le JAMA indique qu'un tiers des patients avec un infarctus du myocarde ne présenteraient pas de douleur thoracique lors de l'admission en service hospitalier. L'absence de ce symptôme majeur de l'IDM est associée à un retard dans la demande d'un avis médical, à un traitement moins agressif et à une mortalité en milieu hospitalier plus élevée. […].

Ouverture du centre de la douleur thoracique

Caducee.net, le 06/06/2008 : Chaque année, 3 400 personnes décèdent en Pays de la Loire d'un infarctus du myocarde, infarctus qui se manifeste très généralement par une douleur thoracique. Face à une telle douleur, il est important d'en diagnostiquer l'origine avec certitude (infarctus, angine de poitrine…). D'un diagnostic rapide dépend une prise en charge optimale évitant les hospitalisations inutiles (très nombreuses) ou les erreurs fatales. […].

La spectroscopie par RMN au phospore 31 pour étudier la pathophysiologie de l’ischémie cardiaque en l’absence de sténose coronarienne

Caducee.net, le 23/03/2000 : En utilisant la spectroscopie myocardique par résonance magnétique nucléaire (RMN) au phosphore 31, une nouvelle technique non invasive qui permet de mesurer directement les phosphates hautement énergétiques au niveau du tissu myocardique et de mettre en évidence des signes métaboliques en faveur d’une ischémie cardiaque, le groupe de Gerald Pohost du Center for Nuclear Magnetic Resonance Research and Development, University of Alabama (Birmingham, USA) fait état dans la dernière livraison du New England Journal of Medicine des résultats d’une étude multicentrique qui, pour la première fois, apportent des « preuves directes » d’une réponse métabolique anormale à un effort de préhension, au moins chez certaines femmes, présentant une douleur thoracique en rapport avec la survenue d’une ischémie myocardique mais sans sténose coronarienne significative à l’angiographie. Cette méthode très sophistiquée d’évaluation des effets métaboliques d’une ischémie myocardique représente un net progrès sur les techniques actuelles de détection dont la plupart sont extrêmement invasives. […].

Emmaus Life Sciences annonce que le New England Journal of Medicine a publié les résultats de l'essai de Phase 3 sur Endari™ (L-glutamine en poudre administrée par voie orale) contre la drépanocytose

Emmaus Life Sciences, Inc., le 19/07/2018 : L'article fournit les résultats ayant démontré une réduction de 25 pour cent du nombre de crises drépanocytaires chez les patients recevant Endari, comparé à ceux recevant un placebo ; p=0,005 (médian 3 versus médian 4) et une nette réduction de 33 pour cent du nombre d'hospitalisations ; p=0,005 (médian 2 versus médian 3). Les conclusions supplémentaires ont fait état d'une réduction de 41 pour cent des jours cumulés à l'hôpital ; p=0,02 (médian 6,5 jours versus médian 11 jours), et une réduction de plus de 60 pour cent de l'incidence de syndrome thoracique aigu (STA) ; p=0,003 (13 patients sur 152 [8,6 %] ont présenté au moins un STA, comparé à 18 des 78 dans le groupe placebo [23,1 %]). Les effets indésirables les plus communs (plus de 10 pour cent des cas) de l'étude clinique ont été la constipation, la nausée, la céphalée, la douleur abdominale, la toux, la douleur aux extrémités, la douleur dorsale et la douleur thoracique. […].

L’imagerie de perfusion myocardique pour le triage des patients

Caducee.net, le 04/12/2002 : L’imagerie de perfusion myocardique au repos pourrait être un outil diagnostique de choix dans l’évaluation des patients admis aux urgences avec une douleur thoracique aiguë. […].

Mieux prédire les risques de mortalité consécutifs à une dissection aortique

Caducee.net, le 16/01/2002 : Devant le taux élevé de mortalité des patients ayant subi une dissection de l’aorte aiguë de type A, une équipe internationale de chercheurs a menée une vaste étude pour déterminer les signes cliniques précurseurs facilement identifiables, comme la douleur thoracique ou un pouls faible, permettant de guider les médecins (et les malades) à intervenir au plus vite avant l’arrivée de complications. […].

Optimisation de la prise en charge de l’infarctus du myocarde

Caducee.net, le 18/03/2002 : Si aujourd’hui il n’est plus à démontrer le bénéfice de la désobstruction coronaire à la phase aiguë de l’infarctus du myocarde (IDM), la question dominante réside dans la stratégie la plus adaptée pour fournir au plus grand nombre de malades et dans les meilleurs délais, les meilleurs traitements possibles de recanalisation, quelles que soient les circonstances de l’IDM. Cardiologues, urgentistes, tous doivent s’associer pour défier le véritable enjeu de santé publique que représente l’IDM. […].

De nouveaux résultats d'études confirment le bénéfice clinique à long terme de CLEXANE(R)/LOVENOX(R) dans le syndrome coronarien aigu

PR Newswire, le 02/09/2007 : PARIS, September 2 /PRNewswire/ -- Sanofi-aventis annonce aujourd'hui que les résultats à un an des études ExTRACT-TIMI 25 et STEEPLE confirment clairement un net bénéfice clinique de Lovenox(R) comparé à l'héparine non fractionnée (HNF), chez les patients présentant un infarctus aigu du myocarde (IDM) avec sus-décalage du segment ST. […].

Détection de la maladie coronaire par les examens non invasifs d’imagerie cardiaque chez le patient symptomatique stable: la seule performance diagnostique est-elle suffisante pour guider la stratégie?

Pr Pascal GUERET, le 24/02/2015 : De nombreuses méthodes non invasives d’imagerie cardiaque sont actuellement à notre disposition pour rapporter à une maladie coronaire les douleurs thoraciques ressenties par un patient stable: électrocardiogramme d’effort, scintigraphie myocardique, échocardiographie de stress, IRM de stress, Tomographie à Emission de Positons et scanner coronaire. D’après les recommandations européennes récentes, la démarche diagnostique doit être guidée par l’estimation préalable du niveau de risque coronaire auquel se situe le patient. Le choix de la méthode la plus appropriée dépend ensuite des paramètres habituels que sont la disponibilité locale, l’expertise locale et le respect des contre indications respectives de chaque examen. Bien qu’empruntant des voies physiopathologiques différentes, la performance diagnostique de ces examens pour détecter une maladie coronaire est actuellement assez comparable. A elle seule, elle n’est donc pas suffisante pour justifier la démarche diagnostique choisie. Il est devenu très important de prendre en considération les risques de chacun de ces examens auxquels sont éventuellement exposés les patients ainsi que les données médico économiques de coût/efficacité. […].

Celgene a reçu des avis favorables de l’Agence Européenne des Médicaments pour des associations triples de traitements à base de REVLIMID® et IMNOVID® pour les patients atteints de myélome multiple

Celgene Corporation, le 20/05/2019 : REVLIMID® en association avec le bortézomib et la dexaméthasone (RVd) est désormais indiqué pour le traitement du myélome multiple non préalablement traité chez les patients adultes non éligibles à une greffe de cellules souches. […].

L'arrêt des statines fortement déconseillé chez les coronariens

Caducee.net, le 05/03/2002 : En cas de syndrome coronarien aigu, l'arrêt des statines après l'apparition des symptômes est associé à une augmentation marquée du risque de décès et d'infarctus du myocarde (IDM). Le risque à 30 jours est multiplié par 2,93 par rapport à ceux chez lesquels le traitement par statine est poursuivi. […].

Présentation à l'ASCO de deux études cliniques évaluant les bénéfices de la polythérapie ABRAXANE® chez les patients atteints de mélanome irrésécable

Businesswire, le 07/06/2011 : Dans la première étude, les patients ont reçu soit ABRAXANE (100 mg/m2) les premier, huitième et quinzième jours, du carboplatine (AUC 6 en intraveineuse) le premier jour et du bévacizumab (10 mg/kg en intraveineuse) les premier et quinzième jours, pour chaque cycle de 28 jours (n=51) ; soit du témozolomide (200 mg/m2) les cinq premiers jours et du bévacizumab (10 mg/kg en intraveineuse) les premier et quinzième jours d'un cycle de 28 jours (n=42). Les deux bras ont été menés indépendamment. Les doses de départ ont été réduites à la suite d'un addenda à l'étude : la posologie ABRAXANE a été réduite à 80 mg/m2 et celle du carboplatine à AUC 5. Pour les deux bras, le taux de survie sans progression à 6 mois était le critère de jugement principal. […].

Présentation à l'ASCO des résultats d'une étude de phase II évaluant les bénéfices cliniques de la polythérapie ABRAXANE®, gemcitabine et bévacizumab en traitement de première ligne des patients atteints de cancer du sein métastatique

Businesswire, le 07/06/2011 : Dans cette étude, les patients admissibles à une chimiothérapie de première ligne ont reçu ABRAXANE (125 mg/m2), suivi de gemcitabine (1000 mg/m2) les premier et huitième jours, puis de bévacizumab (15 mg/kg) le premier jour de chaque cycle de 21 jours. Quarante-huit patients ont été évalués dans le cadre de cette étude. […].

Présentation à la Conférence internationale sur le lymphome malin des données de phase II évaluant les bénéfices cliniques de REVLIMID® associé au rituximab chez les patients atteints de lymphomes indolents...

Businesswire, le 19/06/2011 : Présentation à la Conférence internationale sur le lymphome malin des données de phase II évaluant les bénéfices cliniques de REVLIMID® associé au rituximab chez les patients atteints de lymphomes indolents à grandes cellules B non traités […].

Données de phase I/II évaluant les bénéfices cliniques de REVLIMID® administré en association avec une chimiothérapie standard de type R-CHOP chez des patients atteints d'un lymphome diffus à grandes cellules B non traité

Businesswire, le 16/06/2011 : Dans une étude expérimentale de phase I/II menée à la Clinique Mayo, 12 patients ont reçu des doses de 15 mg, 20 mg ou 25 mg de REVLIMID, les dix premiers jours de chaque cycle de 21 jours, en association avec une chimiothérapie standard de type R-CHOP, afin de déterminer la dose maximale tolérée (DMT) de REVLIMID. Aucune toxicité limitant la posologie n'a été observée. […].

MISE À JOUR RÉGLEMENTAIRE DE CELGENE AU SUJET DE REVLIMID®

Businesswire, le 23/09/2011 : Dans sa finalisation de la révision en vertu de l'article 20, le CHMP a conclu que REVLIMID , en combinaison avec la dexaméthasone pour le traitement des patients atteints de myélome multiple ayant reçu au moins une thérapie antérieure, affichait un profil bénéfice/risque positif. Le CHMP a également recommandé que les informations produit pour REVLIMID soient mises à jour afin d’y inclure les informations concernant les deuxièmes malignités primaires. […].

REVLIMID® a été évalué en combinaison avec le Rituximab en tant que traitement potentiel destiné aux patients atteints de leucémie lymphocytique chronique et naïfs de traitement

Businesswire, le 14/12/2011 : 69 patients ont participé à cette étude multicentre de phase II qui a évalué l'efficacité et l'innocuité d'une thérapie combinée à base de lénalidomide et de rituximab chez les patients non traités atteints de leucémie lymphocytique chronique. Quarante patients âgés de moins de 65 ans ont été évalués dans la branche 1, contre 29 âgés d'au moins 65 ans dans la branche B. Les patients ont reçu une dose quotidienne de 2,5mg de lénalidomide, pouvant atteindre 5mg par jour, au huitième jour du cycle 1 et, à nouveau, au premier jour du cycle 3 - avec une dose maximale quotidienne de 10mg si celle-ci est tolérée. Les patients ont reçu du lénalidomide pendant 21 des 35 jours du cycle 1, puis pendant 21 jours d'un cycle de 28 jours (cycles 2 à 7), sur un total de sept cycles. Le Rituximab a été initié à la fin du cycle 1, avec une dose de 50 mg/m2 au 29e jour, de 325 mg/m2 au 31e jour, de 375 mg/m2au 33e jour du cycle 1, puis une dose hebdomadaire de 375 mg/m2pendant 4 semaines durant le cycle 2 et au premier jour des cycles 3 à 7. Les patients ont par ailleurs reçu une dose quotidienne de 300mg d'allopurinol dans le cadre de la prophylaxie du syndrome de lyse tumorale et, suivant un amendement du protocole, une dose quotidienne de 81mg d'aspirine. […].

Une étude de phase II évalue le bénéfice clinique de REVLIMID® administré en polythérapie chez des patients atteints de cancer de la prostate métastatique résistant à la castration (mCRPC)

Businesswire, le 06/06/2011 : Dans l'étude, les patients souffrant de mCRPC progressive et n'ayant jamais subi de chimiothérapie préalable, ont été traités au docétaxel (75 mg/m2) et au bévacizumab (15 mg/kg) une fois par jour, en association avec la lénalidomide (25 mg) les 14 premiers jours et une dose quotidienne de prednisone (10 mg) et dénoxaparine pendant chaque cycle de 21 jours. […].

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