L’Actonel® réduit les risques de fractures vertébrales chez les femmes ménopausées dès six mois

De nouvelles études cliniques concernant l’efficacité de l’Actonel (risedronate de sodium, voir site internet) sur les femmes ménopausées montrent que celui-ci réduit les risques de fractures cliniques des vertèbres dès le sixième mois de traitement.

Les résultats de cette nouvelle étude ont été présentés le 13 octobre dernier au 23ème congrès annuel de l’American Society for Bone and Mineral Research (ASBMR) à Phœnix dans l’Arizona (EU).

Les recherches cliniques ont porté sur 2442 femmes ménopausées et ont montré que le traitement avec de l’Actonel 5 mg, commercialisé par le groupe Procter&Gamble, permettait de réduire les risques de fractures vertébrales (p<0,01) dès les six premiers mois.

Des études antérieures avaient déjà montré que l’Actonel réduisait les risques de fracture vertébrale de plus de 65% après un an (p<0,001) chez les femmes ménopausées souffrant d’ostéoporose et de plus de 74% chez les patientes à haut risque d’ostéoporose (plus de deux fractures existantes, p<0,01).

« Il est important que nous intervenions le plus tôt possible chez les patientes à haut risque de fracture et que nous commencions rapidement un traitement efficace, comme l’Actonel, afin de stopper la cascade de fractures qui souvent se produit », a commenté Nelson Watts, directeur du centre de l’ostéoporose à l’université de Cincinnati.

« Nous devons insister sur le fait qu’ une femme sur cinq ayant déjà eu une fracture vertébrale en aura une seconde dans l’année qui suit », a-t-il ajouté.

Source : 23rd Annual Meeting of the American Society for Bone and Mineral Research 13 octobre 2001.

Descripteur MESH : Femmes , Sodium , Risque

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