80 millions de coureurs Européens devoilent leurs motivations

HOOFDDORP, Pays Bas, August 31 /PRNewswire/ -- Le monde de la course à pied est en train de subir une « deuxième vague de coureurs », avec environ 36% des Européens âgés de 15 à 65 ans qui s'adonnent à cette activité dans les rues, les parcs, les forêts, et les salles de sport. Mais comment ce nouveau boom est-il arrivé en France et dans le reste de l'Europe ? Comment se fait-il que nous courions ?

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Pour célébrer son 60è anniversaire cette année, l'ASICS a porté la course à pied à un autre niveau en réalisant une étude sans précédent à propos du mental du coureur. Conduite par l'institut de recherches Synovate, l'étude de l'ASICS, qui porte sur les « Motivations de la Course à pied » a interrogé plus de 3 500 coureurs dans sept pays européens* pour révéler le 'pourquoi ?' qui motive leur comportement, faisant de cette étude la plus grande jamais réalisée à ce sujet.

Du corps à l'esprit

Un fait significatif qui apparaît dans chaque pays est l'attitude envers la course à pied qui correspond à « d'abord le corps, puis l'esprit ». Les bienfaits physiques de la course l'emportent largement sur les bienfaits mentaux lorsque l'on commence à pratiquer ce sport, avec les problèmes de santé tels que la forme physique (pour 54% des coureurs) et la perte de poids (pour 40%) qui sont les deux principales raisons pour lesquelles les Européens se mettent à la course à pied. Avec le temps, cependant, la balance penche plutôt vers le mental lorsque les coureurs découvrent les bienfaits mentaux que leur apporte la course à pied, 34% d'entre eux déclarent qu'ils le font pour se divertir et 35% l'utilisent comme moyen pour relâcher la pression.

En moyenne, les Européens souhaitent perdre 6,1kg en courant, mais les Néerlandais vont bien au-delà de cet objectif puisqu'ils veulent atteindre 9,5kg. En ce qui concerne leurs partenaires de course, les Anglais détiennent le plus grand nombre de coureurs qui pratiquent ce sport en poussant leurs bébés dans leurs poussettes tandis que les Italiens détiennent le pourcentage le plus élevé d'inscription dans des clubs de course à pied (13%) puisque ce qu'ils apprécient le plus est la compagnie d'un autre coureur. Lorsqu'on les interroge sur ce qui leur passe par la tête quand ils courent, les Espagnols déclarent qu'ils scrutent les autres coureurs autour d'eux, tandis que les Français se concentrent sur leur respiration, leur allure, et leur rythme ; les Anglais s'inquiètent de leurs finances et de la crise du crédit actuelle, et les Belges ne pensent à rien du tout.

Nous courons comme nous sommes

En cherchant profondément dans l'esprit des coureurs, l'étude de l'ASICS portant sur « les motivations des coureurs » livre des résultats intrigants. Ils s'échelonnent d'un consensus général portant sur certains aspects (comme les raisons pour lesquelles les gens commencent à courir) à des facteurs qui divergent énormément entre les nations (comme la persévérance de la motivation, la prévention des blessures, et les sites préférés). Ces différences sont principalement dues au fait que la disposition d'esprit du coureur ressemble à celle de son pays. Par exemple, les Allemands, très rigoureux, sont des coureurs assidus qui n'aiment pas abandonner, tandis que les Français, animés par leur joie de vivre ne courent principalement que pour s'amuser. Rien ne détourne les Néerlandais, très réalistes, de leur course à pied contrairement aux Espagnols, passionnés, qui trouvent qu'ils s'énervent facilement.

Le coureur français et les autres

Les Français sont des « coureurs de nature joyeuse », qui, en tant que nation, apprécient les bonnes choses de la vie. Ils abordent également cet exercice avec leur joie de vivre. Ils courent principalement pour s'amuser, et seulement quand les conditions atmosphériques leur conviennent (64% choisissent de ne pas courir quand les conditions atmosphériques sont mauvaises par opposition à 52% des Italiens). Ce sont eux qui courent le moins des sept pays européens (6 fois par mois comparé à 8 pour le reste de l'Europe), et dans l'absolu, ils préfèrent courir tranquillement à la campagne. Avec 43% d'entre eux qui admettent que la course les rend optimistes, ils n'ont pas besoin de musique pour augmenter leur plaisir et, contrairement à leurs homologues Britanniques, ils ne s'inquiètent pas de grand-chose lorsqu'ils sont à l'extérieur. Avec une attitude aussi décontractée par rapport au sport, ils prennent très peu de précautions contre les blessures et pourtant, de façon assez surprenante, ils ne se blessent pas trop souvent. Mais ce dont ils souffrent le plus, à 45% (comparé à 20% des coureurs néerlandais), ce sont des ampoules.

Les merveilles de la course

Depuis le premier boom de la course à pied au début des années 1970, lorsque les gens se sont rendu compte que courir était un moyen fiable pour rester en bonne santé, ce monde du jogging n'a jamais connu une augmentation aussi forte du nombre de coureurs. Progressivement, de plus en plus de coureurs apparaissent dans les parcs, les rues et les salles de sport, et l'on constate une augmentation du nombre de participants sur les listes d'inscription aux marathons (avec un total de 494 marathons rien qu'en Europe), et une forte progression du nombre de femmes pratiquant ce sport (33% des Européennes ont commencé ces 12 derniers mois) et ce sont seulement certains des signes soulignant ce qui est connu aujourd'hui comme étant la « seconde vague de course à pied ». Ce boom récent est accentué par le fait qu'un tiers des coureurs actuels ont commencé l'année dernière et que leur nombre ne cesse d'augmenter, avec un nombre total de 80 millions de coureurs européens.

* N. B. : Les pays qui ont participé sont la Grande-Bretagne, la France, l'Italie, l'Espagne, les Pays-Bas, la Belgique et l'Allemagne et les résultats sont une représentation des 80 millions de coureurs européens.

Pour plus de détails, d'éléments et de graphiques sur le sondage 'Les Raisons de courir' (Reason to Run), veuillez consulter http://www.everythingaboutrunning.asics.eu

Anima Sana In Corpore Sano (un esprit sain dans un corps sain)

En 1949, le fondateur de l'ASICS, Kihachiro Onitsuka, a créé à Kobe, au Japon, sa compagnie spécialisée dans les chaussures de sport. Au coeur des motivations d'Onitsuka se trouvait sa croyance selon laquelle l'exercice mène au développement d'un corps plus sain, et qu'un corps sain est le berceau d'un esprit sain. Rien ne concrétise plus cette philosophie que la course à pied, où le corps et l'esprit doivent constamment travailler ensemble en harmonie. Depuis sa création, l'ASICS est devenue une autorité dans le domaine de la course grâce à ses constantes études sur le comportement du corps du coureur. Lors de la célébration de son 60è anniversaire (un événement extrêmement symbolique pour les Japonais), l'ASICS a décidé de mener son engagement à un niveau supérieur et de devenir une autorité dans un autre domaine - celui du mental du coureur.

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