Présentation à l'ASH des données cliniques évaluant l'administration de REVLIMID® par voie orale, en association avec le rituximab ou à la suite d'un traitement contenant du rituximab, chez des patients atteints de leucémie ...

Présentation à l'ASH des données cliniques évaluant l'administration de REVLIMID® par voie orale, en association avec le rituximab ou à la suite d'un traitement contenant du rituximab, chez des patients atteints de leucémie lymphocytaire chronique (LLC)

L'étude évaluant REVLIMID en traitement d'entretien chez des patients atteints de LLC non traitée a indiqué que 91 % d'entre eux étaient toujours en vie après un suivi médian de 21 mois

Une deuxième étude évaluant l'association REVLIMID-rituximab chez des patients atteints de LLC récurrente ou réfractaire signale un taux de réponse globale de 63 %

Présentation à l'ASH des données cliniques évaluant l'administration de REVLIMID® par voie orale, en association avec le rituximab ou à la suite d'un traitement contenant du rituximab, chez des patients atteints de leucémie lymphocytaire chronique (LLC)

L'étude évaluant REVLIMID en traitement d'entretien chez des patients atteints de LLC non traitée a indiqué que 91 % d'entre eux étaient toujours en vie après un suivi médian de 21 mois

Une deuxième étude évaluant l'association REVLIMID-rituximab chez des patients atteints de LLC récurrente ou réfractaire signale un taux de réponse globale de 63 %

Celgene International Sàrl (NASDAQ : CELG) a annoncé que les données cliniques de deux études expérimentales portant sur l'utilisation de REVLIMID® (lénalidomide), administré en association au rituximab ou à la suite d'un traitement contenant du rituximab, chez des patients atteints de leucémie lymphocytaire chronique (LLC) ont été présentées au 52e congrès annuel de l'American Society of Hematology.

Dans la première étude, 38 des 44 patients atteints de LLC non traitée ont reçu un traitement de pentostatine (2 mg/m2), de cyclophosphamide (600 mg/m2) et de rituximab (375 mg/m2) (PCR) pendant six cycles de 21 jours. À la suite de ce schéma thérapeutique, 34 patients ont poursuivi un traitement d'entretien, avec une dose quotidienne initiale de lénalidomide de 5 mg, augmentée à 10 mg par jour en fonction de la tolérance pendant une moyenne de sept cycles.

Au suivi médian de 21 mois, 91 % des patients (40 sur 44) étaient toujours en vie et 21 % des patients (7 sur 34) qui avaient suivi un traitement d'entretien à la lénalidomide pendant au moins un cycle indiquaient une meilleure réponse, y compris trois patients qui sont passés du stade positif à négatif de la maladie résiduelle imperceptible (MRD). La durée moyenne de réponse n'a pas été atteinte.

En outre, une comparaison de ces données et de données PCR historiques indiquait que 95 % des patients (42 sur 44) ayant suivi un traitement d'entretien n'avaient pas besoin d'être retraités à 12 mois, contre 86 % des patients (55 sur 64) sans traitement d'entretien à la lénalidomide dans l'étude historique.

Parmi les patients ayant suivi un traitement d'entretien à la lénalidomide dans le cadre de l'étude, les effets secondaires de grades 3 ou plus les plus courants étaient la neutropénie (grade 3, 41 %, 14 patients sur 38 ; grade 4, 21 %, 7 patients sur 38), la leucopénie (grade 3, 32 %, 11 patients sur 38), une diminution de la numération plaquettaire (grade 3, 9 %, 3 patients sur 38) et des éruptions cutanées (grade 3, 6 %, 2 patients sur 38).

Dans le cadre de la deuxième étude, 59 patients atteints de LLC récurrente ou réfractaire ont reçu 375 mg/m2 par intraveineuse une fois par semaine pendant quatre semaines au cours du premier cycle, puis une fois toutes les quatre semaines pendant les cycles 3 à 12. Un traitement oral quotidien de 10 mg de lénalidomide a été ajouté le neuvième jour du premier cycle, selon un schéma posologique continu. Les cycles étaient de 28 jours, avec l'intention de poursuivre le traitement pendant 12 cycles ou plus si le patient atteint une réponse clinique. La posologie a été réduite en cas d'effets secondaires de grades 3 ou 4 liés à la lénalidomide, et 300 mg par jour d'allopurinol ont été prescrits pendant les deux premières semaines dans le cadre de la prophylaxie du syndrome de lyse tumorale.

Les 59 patients étaient tous évaluables, les évaluations ayant été effectuées à la suite des cycles 3 et 6, et tous les six cycles ultérieurement. Le taux de réponse globale de l'étude était de 63 % (37 patients sur 59), dont 5 % (3 patients sur 59) étant parvenus à une réponse complète. En outre, 2 % des patients (1 sur 59) ont atteint une réponse complète avec une récupération hématologique incomplète. Quatorze pour cent des patients (8 sur 59) sont parvenus à des réponses partielles nodulaires et 42 % (25 patients sur 59) ont atteint des réponses partielles. La plupart des réponses (59 %, 35 patients sur 59) se sont produites au cours des six premiers cycles du traitement.

Au cours de l'étude, les effets secondaires de grades 3 ou 4 les plus courants étaient la neutropénie (68 %, 40 patients sur 59), la thrombocytopénie (22 %, 13 patients 59) et l'anémie (10 %, 6 patients sur 59). Des infections des grades 3 ou 4 se sont produites chez 18 patients (31 %), principalement au niveau des voies respiratoires supérieures. Un patient a souffert du syndrome de lyse tumorale de grade 3. Un décès lié au traitement s'est produit au cours de l'étude en raison d'un accident ischémique cérébral avec infection.

Ces données sont issues d'une étude expérimentale. La lénalidomide n'a pas été approuvée pour le traitement de patients atteints de leucémie lymphocytaire chronique.

À propos du REVLIMID®

REVLIMID® appartient à la famille des composés IMiD®. L'évaluation de REVLIMID et d'autres IMiD se poursuit actuellement dans le cadre de plus de 100 essais cliniques. La famille des composés IMiD est protégée par un vaste ensemble de brevets, déjà octroyés ou en instance aux États-Unis, dans l'Union européenne et dans d'autres régions, notamment des brevets protégeant les compositions de matières et l'utilisation.

REVLIMID est approuvé en combinaison avec la dexaméthasone pour le traitement des patients atteints d'un myélome multiple ayant au moins bénéficié au préalable d'une autre thérapie dans près de 70 pays d'Europe, du continent américain, du Moyen-Orient et de l'Asie, ainsi que pour le traitement des patients dont la maladie a progressé à l'issue d'une autre thérapie en Australie et en Nouvelle-Zélande.

REVLIMID est également approuvé sur le continent américain, au Moyen-Orient et en Asie dans les cas d'anémie dépendante des transfusions dues à un syndrome myélodysplasique de risque faible ou intermédiaire 1 associé à une délétion 5q avec ou sans anomalies cytogénétiques. Des demandes d'autorisations de mise sur le marché sont actuellement en cours d'évaluation dans plusieurs autres pays.

REVLIMID® (lénalidomide) en combinaison avec la dexaméthasone est indiqué pour le traitement des patients atteints d'un myélome multiple (MM) ayant déjà bénéficié d'une autre thérapie.

REVLIMID est indiqué pour le traitement des patients atteints d'anémie dépendante des transfusions due à des syndromes myélodysplasiques de risque faible à intermédiaire 1 associés à une délétion 5q avec ou sans autres anomalies cytogénétiques.

Informations importantes de sécurité

AVERTISSEMENT : RISQUE POUR LE FŒTUS, TOXICITÉ HÉMATOLOGIQUE, THROMBOSE VEINEUSE PROFONDE ET EMBOLIE PULMONAIRE

Ne pas utiliser REVLIMID pendant la grossesse. Des anomalies des membres ont été signalées à la suite du traitement par la lénalidomide, un analogue de la thalidomide, dans une étude développementale sur les singes. La thalidomide est un tératogène humain connu qui provoque de graves malformations congénitales susceptibles d'être fatales. La prise de lénalidomide en cours de grossesse peut provoquer des malformations congénitales ou la mort d'un fœtus en développement. Les femmes en âge de procréer doivent obtenir deux tests de grossesse négatifs avant de commencer un traitement par REVLIMID. Elles doivent utiliser deux formes de contraception ou s'abstenir en permanence de tout rapport hétérosexuel pendant le traitement au REVLIMID et pendant les quatre semaines qui suivent. Pour éviter l'exposition du fœtus à la lénalidomide, REVLIMID n'est disponible que dans le cadre d'un programme de distribution restrictif spécifique appelé « RevAssist® ».

Des informations relatives au programme RevAssist sont disponibles sur le site www.REVLIMID.com ou au numéro gratuit du fabricant 1-888-423-5436.

TOXICITÉ HÉMATOLOGIQUE (NEUTROPÉNIE ET THROMBOCYTOPÉNIE)

REVLIMID peut provoquer une neutropénie et une thrombocytopénie graves. Un retard/réduction de dose a été requis pour quatre-vingt pour cent des patients souffrant de syndromes myélodysplasiques à délétion 5q au cours de l'étude principale. Un deuxième retard/réduction de dose a été requis pour trente-quatre pour cent des patients. Une toxicité hématologique de grade 3 ou 4 a été observée chez 80 % des patients participant à l'étude. Une numération globulaire complète hebdomadaire est requise chez les patients traités pour des syndromes myélodysplasiques à délétion 5q pendant les 8 premières semaines de la thérapie et au moins une fois par mois par la suite. Une interruption et/ou réduction de dose peut être nécessaire chez certains patients. Certains patients peuvent nécessiter un apport de produits sanguins ou de facteurs de croissance (voir DOSAGE et ADMINISTRATION).

THROMBOSE VEINEUSE PROFONDE ET EMBOLIE PULMONAIRE

REVLIMID présente un risque significativement accru et démontré de thrombose veineuse profonde (TVP) et d'embolie pulmonaire (EP) chez les patients atteints d'un myélome multiple traités par une polythérapie au REVLIMID et à la dexaméthasone. Il est recommandé aux patients et aux médecins de surveiller l'apparition de tout signe ou symptôme de thrombo-embolie. Les patients doivent être avertis de la nécessité de s'adresser à un médecin en cas d'apparition de symptômes tels qu'essoufflement, douleur thoracique ou apparition d'un œdème au niveau du bras ou de la jambe. L'effet de la prescription d'une thérapie prophylactique anticoagulante ou inhibant l'agrégation plaquettaire associée au REVLIMID afin d'atténuer le risque d'accident veineux thrombo-embolique n'est pas connu. La prudence est de mise avant l'adoption de mesures prophylactiques, et un examen préalable des facteurs de risque sous-jacents de chaque patient est requis.

CONTRE-INDICATIONS :

Grossesse, catégorie X :

  • La lénalidomide est contre-indiquée chez les femmes enceintes et les femmes susceptibles de le devenir. Les femmes en âge de procréer peuvent être traitées à la lénalidomide à condition que des précautions appropriées soient prises pour éviter toute grossesse.

Réactions allergiques :

  • REVLIMID est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité confirmée à la lénalidomide (p. ex., œdème de Quincke, syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell).

AVERTISSEMENTS ET PRÉCAUTIONS :

Risque pour le fœtus :

  • REVLIMID est un analogue de la thalidomide, tératogène humain connu qui provoque des malformations congénitales susceptibles d'être fatales. Une étude sur le développement embryofœtal chez des primates non humains indique que la lénalidomide produit des malformations chez la progéniture des femelles singes ayant été traitées pendant la grossesse, similaires aux malformations congénitales observées chez les humains à la suite d'exposition à la thalidomide pendant la grossesse. Si REVLIMID est utilisé pendant cette période, il est susceptible de provoquer des déficiences congénitales ou des décès chez un nouveau-né en cours de développement.
  • Il est recommandé aux patientes en âge de procréer d'éviter toute grossesse pendant un traitement par REVLIMID. Deux méthodes de contraception efficaces doivent être utilisées pendant le traitement, au cours des interruptions thérapeutiques et pendant au moins 4 semaines après la fin du traitement.
  • Patients hommes : il n'a pas été déterminé si la lénalidomide est présente dans le sperme des patients recevant ce médicament. Les hommes recevant REVLIMID doivent donc toujours utiliser un préservatif en latex pendant tout rapport sexuel avec une femme en âge de procréer, même s'ils ont subi une vasectomie réussie.

Risque génésique et conditions spécifiques de prescription (programme RevAssist) :

  • Compte tenu de cette toxicité potentielle et afin d'éviter toute exposition fœtale, REVLIMID n'est disponible que dans le cadre d'un programme de distribution restrictif spécifique appelé « RevAssist ». Seuls les prescripteurs et pharmaciens enregistrés pour ce programme peuvent prescrire et délivrer le produit aux patients enregistrés et remplissant toutes les conditions du programme RevAssist.

Toxicité hématologique — Myélome multiple :

  • REVLIMID peut provoquer une neutropénie et une thrombocytopénie graves.
  • Une numération globulaire complète est requise toutes les 2 semaines, pendant les 12 premières semaines, pour les patients traités par REVLIMID pour le MM, puis mensuellement par la suite.
  • Dans le cadre des différentes études portant sur le MM, des toxicités hématologiques de grades 3 et 4 étaient plus fréquentes chez les patients traités avec une combinaison de REVLIMID et de dexaméthasone que chez les patients uniquement traités par dexaméthasone.
  • Une interruption et/ou réduction de dose peut être nécessaire chez certains patients.

Thrombose veineuse profonde :

  • Des thrombo-embolies veineuses (principalement thrombose veineuse profonde et embolie pulmonaire) se sont produites chez des patients atteints de MM traités par une polythérapie à la lénalidomide et chez des patients atteints de syndrome myélodysplasique traités par une monothérapie à la lénalidomide.

Réactions allergiques :

  • Des œdèmes de Quincke et des réactions dermatologiques graves, notamment le syndrome de Stevens-Johnson (SJS) et le syndrome de Lyell (TEN), ont été signalés. Ces événements peuvent être mortels. Les patients qui présentent des antécédents d'éruptions cutanées de grade 4 associées au traitement à la thalidomide ne doivent pas être traités au REVLIMID. L'interruption ou la suspension du traitement au REVLIMID doit être envisagée en cas d'éruptions cutanées de grades 2 et 3. Le traitement doit être interrompu en cas d'œdème de Quincke, d'éruptions cutanées de grade 4, de dermatose exfoliative ou bulleuse, ou si l'on soupçonne un SJS ou un TEN, et ne doit pas être repris même si ces réactions disparaissent.

Syndrome de lyse tumorale :

  • Des cas mortels de syndrome de lyse tumorale ont été signalés pendant le traitement par lénalidomide. Les patients présentant un risque de contracter le syndrome de lyse tumorale sont ceux ayant une charge tumorale élevée avant le traitement. Ces patients doivent être surveillés de près et des précautions particulières doivent être prises.

Réaction de flambée tumorale :

  • Une réaction de flambée tumorale s'est produite pendant l'utilisation expérimentale de la lénalidomide pour le traitement de la leucémie lymphocytaire chronique (LLC) et du lymphome. Elle se caractérise par un gonflement douloureux des ganglions lymphatiques, une température sub-fébrile, des douleurs et des éruptions cutanées. Le traitement de la LLC ou des lymphomes par la lénalidomide en dehors d'un essai clinique encadré est déconseillé.

INTERACTIONS MÉDICAMENTEUSES :

  • Les agents érythropoïétiques, ou d'autres agents qui augmentent le risque de thrombose, tels que les thérapies à base d'œstrogènes, doivent être utilisés avec précaution chez les patients atteints de MM traités par bithérapie à la lénalidomide et à la dexaméthasone.

UTILISATION DANS LES POPULATIONS SPÉCIALES :

Mères allaitantes :

  • L'absence de passage de REVLIMID dans le lait maternel n'a pas été démontrée.
  • Étant donnés les effets indésirables potentiels chez le nouveau-né, il est nécessaire de se prononcer en faveur soit de l'interruption de l'allaitement ou du médicament, en prenant en compte de l'importance du traitement pour la mère.

Utilisation gériatrique :

  • Les patients âgés étant plus susceptibles aux insuffisances rénales, la posologie doit faire l'objet d'une attention particulière et la fonction rénale doit être surveillée.

Insuffisance rénale :

  • REVLIMID étant principalement excrétée sous forme non modifiée par voie rénale, il est recommandé d'adapter la dose initiale de REVLIMID afin d'obtenir une exposition appropriée au médicament chez les patients atteints d'une insuffisance rénale modérée ou grave (CLcr < 60 ml/min) ainsi que chez les patients sous dialyse.

EFFETS INDÉSIRABLES :

Myélome multiple

  • Dans le groupe traité par REVLIMID/dexaméthasone, 269 patients (76 %) ont fait l'objet d'au moins une interruption avec ou sans réduction de dose de REVLIMID, contre 199 patients (57 %) dans le groupe traité par placebo/dexaméthasone.
  • Parmi les patients ayant fait l'objet d'une interruption avec ou sans réduction de dose, 50 % du groupe traité par REVLIMID/dexaméthasone ont fait l'objet d'au moins une autre interruption avec ou sans réduction de dose, contre 21 % dans le groupe traité par placébo/dexaméthasone.
  • Les effets les plus indésirables et de grade 3 ou 4 étaient plus fréquents chez les patients atteints de MM ayant reçu une combinaison de REVLIMID/ dexaméthasone, en comparaison avec le groupe traité par placébo/dexaméthasone.
  • Les autres effets indésirables constatés chez ≥15 % des patients atteints de MM (groupe de patients traités au REVLIMID/dexaméthasone contre ceux traités à la dexaméthasone/placébo) sont les suivants : fatigue (44 % contre 42 %), neutropénie (42 % contre 6 %), constipation (41 % contre 21 %), diarrhée (39 % contre 27 %), crampes musculaires (33 % contre 21 %), anémie (31 % contre 24 %), pyrexie (28 % contre 23 %), œdème périphérique (26 % contre 21 %), nausées (26 % contre 21 %), douleurs dorsales (26 % contre 19 %), infection des voies respiratoires supérieures (25 % contre 16 %), dyspnée (24 % contre 17 %), étourdissements et vertiges (23 % contre 17 %), thrombocytopénie (22 % contre 11 %), éruptions cutanées (21 % contre 9 %), tremblements (21 % contre 7 %), perte pondérale (20 % contre 15 %), rhinopharyngite (18 % contre 9 %), vision trouble (17 % contre 11 %), anorexie (16 % contre 10%) et dysgeusie (15 % contre 10 %).

Syndromes myélodysplasiques

  • La thrombocytopénie (61,5 %, soit 91 patients sur 148) et la neutropénie (58,8 %, soit 87 patients sur 148) sont les effets indésirables les plus fréquemment observés dans la population atteinte de syndromes myélodysplasiques à délétion 5q.
  • Les autres effets indésirables rapportés chez ≥15 % des patients atteints de syndromes myélodysplasiques à délétion 5q (REVLIMID) sont les suivants : diarrhée (49 %), prurit (42 %), éruptions cutanées (36 %), fatigue (31 %), constipation (24 %), nausées (24 %), rhinopharyngite (23 %), douleurs articulaires (22 %), pyrexie (21 %), douleurs dorsales (21 %), œdème périphérique (20 %), toux (20 %), étourdissements et vertiges (20 %), maux de tête (20 %), crampes musculaires (18 %), dyspnée (17 %), pharyngite (16 %), épistaxis (15 %), asthénie (15 %), infection des voies respiratoires supérieures (15 %).

DOSAGE ET ADMINISTRATION :

  • Le dosage est maintenu ou modifié en fonction des résultats cliniques et de laboratoire. Des modifications posologiques sont recommandées pour la gestion de la neutropénie ou de la thrombocytopénie de grade 3 ou 4, ainsi que de toute autre toxicité de grades 3 ou 4 considérée comme liée au REVLIMID.
  • Pour les autres toxicités de grades 3 ou 4 considérées comme liées au REVLIMID, interrompez le traitement et reprenez-le en diminuant la dose, une fois la toxicité revenue à un grade inférieur ou égal à 2.

Veuillez consulter les informations de prescription complètes, y compris les AVERTISSEMENTS, CONTRE-INDICATIONS, PRÉCAUTIONS et EFFETS INDÉSIRABLES accompagnant le médicament.

À propos de la leucémie lymphocytaire chronique

La LLC est le type de leucémie le plus courant chez les adultes, comptant pour environ 30 à 40 % de toutes les formes de leucémie dans les pays occidentaux. L'incidence globale de la LLC est de l'ordre de quatre sur 100 000 et est deux fois plus courante chez les hommes que chez les femmes. La LLC est actuellement considérée comme incurable ; l'objectif du traitement consiste donc à contrôler la maladie en gérant ses symptômes et en prolongeant la vie des patients sans aggravation de la maladie.

À propos de Celgene International Sàrl

Celgene International Sàrl, située à Boudry, dans le Canton de Neuchâtel, en Suisse, est une filiale à part entière et le siège international de Celgene Corporation. Celgene Corporation, dont le siège se trouve à Summit, dans le New Jersey, est une société pharmaceutique internationale intégrée spécialisée dans la découverte, le développement et la commercialisation de traitements novateurs de lutte contre le cancer et les maladies inflammatoires au moyen de la régulation génique et protéinique. Pour de plus amples informations, veuillez vous rendre sur le site de la société à l'adresse www.celgene.com.

Ce communiqué de presse contient des énoncés prospectifs qui sont soumis à des risques connus ou inconnus, des retards, des incertitudes et d'autres facteurs hors du contrôle de la société. Ceux-ci sont susceptibles d'entraîner des écarts considérables entre les résultats, les performances ou les réalisations réels de la société et les résultats, les performances et les autres attentes exprimés dans ces énoncés prospectifs. Ces facteurs sont décrits dans les rapports déposés par la société auprès de la Securities and Exchange Commission (Commission des valeurs mobilières) tels que les rapports 10-K, 10-Q et 8-K. Compte tenu de ces risques et incertitudes, il convient de ne pas placer une confiance exagérée dans ces énoncés prospectifs.

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