Feu vert européeen pour IMBRUVICA® (ibrutinib) dans le traitement de la leucémie lymphoïde chronique (LLC)

Feu vert européeen pour IMBRUVICA® (ibrutinib) dans le traitement de la leucémie lymphoïde chronique (LLC) "Le développement de thérapies innovantes demeure capital dans la LLC, afin de s'assurer de la possibilité et de la capacité d'adapter au mieux le traitement aux besoins et aux préférences de chaque patient", a déclaré Edmond Chan, MBChB, M.D. (Res), EMEA Therapeutic Area Lead Haematology, Janssen-Cilag Limited. "Au cours des 11 dernières années, le profil d'efficacité et d'innocuité de l'ibrutinib a été démontré au cours d'essais cliniques et dans le monde réel. Grâce à cette autorisation, les professionnels de santé pourront désormais utiliser l'ibrutinib soit en association à durée déterminée avec le vénétoclax, soit en monothérapie continue dans la LLC de première intention."

Il s'agit du premier traitement entièrement oral, à durée fixe et à prise quotidienne unique, à base d'un inhibiteur de la tyrosine kinase de Bruton (BTK) destiné au traitement de première intention de la LLC

Les sociétés Janssen Pharmaceutical de Johnson & Johnson ont annoncé aujourd'hui avoir obtenu de la Commission européenne une autorisation de mise sur le marché pour l'utilisation élargie d'IMBRUVICA® (ibrutinib) en association avec le vénétoclax (I V) dans le cadre d'un traitement exclusivement oral et à durée déterminée (DD) chez les adultes atteints de leucémie lymphoïde chronique (LLC) précédemment non traitée. L'autorisation repose sur l'étude pivot de Phase 3 GLOW qui a démontré une survie sans progression (SSP) supérieure chez les patients traités par I V par rapport à chlorambucil-obinutuzumab (Clb O), et la cohorte DD de l'étude de Phase 2 CAPTIVATE, qui a mis en évidence des réponses profondes et durables chez les patients traités par I V, et notamment ceux présentant un profil de risque élevé.1,2

"Le développement de thérapies innovantes demeure capital dans la LLC, afin de s'assurer de la possibilité et de la capacité d'adapter au mieux le traitement aux besoins et aux préférences de chaque patient", a déclaré Edmond Chan, MBChB, M.D. (Res), EMEA Therapeutic Area Lead Haematology, Janssen-Cilag Limited. "Au cours des 11 dernières années, le profil d'efficacité et d'innocuité de l'ibrutinib a été démontré au cours d'essais cliniques et dans le monde réel. Grâce à cette autorisation, les professionnels de santé pourront désormais utiliser l'ibrutinib soit en association à durée déterminée avec le vénétoclax, soit en monothérapie continue dans la LLC de première intention."

En Europe, l'ibrutinib est déjà autorisé comme thérapie continue dans plusieurs indications de trois cancers du sang (LLC, lymphome à cellules du manteau et macroglobulinémie de Waldenström).3 Les résultats des patients atteints de la LLC se sont améliorés au cours de la dernière décennie.4 Une série d'innovations, comme l'avènement de nouvelles thérapies orales ciblant la biologie sous-jacente de la maladie, a fait passer la norme de soins de la chimio-immunothérapie aux agents ciblés et aux thérapies combinées.4 Des besoins non satisfaits subsistent, tels que des associations de thérapies ciblées limitées dans le temps et permettant des rémissions durables, ainsi que la possibilité d'adapter le traitement de première intention.1

"Les principes actifs distincts et complémentaires de l'ibrutinib et du vénétoclax, tout comme le potentiel de ce schéma d'association à fournir des rémissions sans traitement, marquent une avancée significative dans notre approche du traitement de première intention de la LLC", a déclaré Arnon Kater, M.D., Ph.D., Deputy Head of Haematology, Amsterdam University Medical Centres, Université d'Amsterdam et président du HOVON CLL Working Group, Pays-Bas ainsi que chercheur principal de l'étude GLOW. "Ces traitements hautement actifs contre le cancer du sang se conjuguent non seulement pour offrir une survie sans progression supérieure à celle du chlorambucil associé à l'obinutuzumab, mais ils démontrent en outre une forte élimination de la maladie dans les tissus lymphoïdes, le sang et la moelle osseuse, ainsi qu'une durabilité précoce de ces réponses après arrêt du traitement."

L'autorisation de la CE est fondée sur les données de l'étude pivot de Phase 3 GLOW (NCT03462719), qui a démontré la supériorité de l'I V sur le Clb O en ce qui concerne le critère d'évaluation principal, la SSP évaluée par un comité d'examen indépendant, auprès de patients âgés ou inaptes atteints de LLC (ratio de risques [RR] de la SSP : 0,216 ; intervalle de confiance [IC] de 95 %, 0,131 à 0,357 ; P<0,001).1 L'amélioration de la SSP avec le traitement I V était cohérente dans tous les sous-groupes prédéfinis, y compris les patients plus âgés et ceux présentant des comorbidités et des profils à haut risque.1 Elle est également soutenue par la cohorte DD de l'étude de Phase 2 CAPTIVATE (NCT02910583) qui a évalué l'I V auprès de patients atteints de LLC précédemment non traitée, âgés de 70 ans ou moins, incluant des patients atteints de LLC à haut risque.2

Les données de ces études ont été récemment publiées dans NEJM Evidence1 et Blood2, respectivement, et les analyses primaires ont fait l'objet de présentations orales lors du congrès 2021 de l'Association européenne d'hématologie (EHA). Les analyses secondaires de GLOW ont été présentées dans le cadre du congrès annuel 2021 de l'American Society of Hematology (ASH), et des données supplémentaires de l'étude CAPTIVATE, notamment les résultats cliniques à trois ans et les preuves de restauration immunitaire post-traitement, ont été présentées lors du congrès 2022 de l'EHA.

Les données mises à jour pour les deux études ont montré que le profil d'innocuité du régime I V correspondait aux profils d'innocuité connus de l'ibrutinib et du vénétoclax.1,2 Dans l'étude GLOW, les effets indésirables les plus fréquents étaient la diarrhée (50,9 %) et la neutropénie (41,5 %) dans le groupe I V et la neutropénie (58,1 %) et les réactions au point de perfusion (29,5 %) dans le groupe Clb O1.1 Les effets indésirables de grade 3 ou plus sont survenus chez 75,5 % et 69,5 % des patients des groupes I V et Clb O, respectivement. 1 Une fibrillation auriculaire de tout grade est apparue chez 15 patients (14,2 %) recevant le traitement I V et chez deux patients (1,9 %) recevant le traitement Clb O. Toutefois, seuls deux patients (1,9 %) ont dû interrompre l'ibrutinib en raison d'une fibrillation auriculaire tout en continuant à prendre du vénétoclax.1 Même si les données sur la survie globale ne sont pas suffisamment matures, avec un suivi médian de 34 mois, 11 décès ont été enregistrés dans le groupe I V et 16 décès dans le groupe Clb O (RR : 0,760 ; IC de 95 %, 0,352 à 1,642).1 Dans la cohorte DD de CAPTIVATE, les EI les plus fréquents étaient la diarrhée (62 %), les nausées (43 %), la neutropénie (42 %) et l'arthralgie (33 %) et étaient essentiellement de grade 1 ou 2.2 Les EI de grade 3/4 les plus fréquents étaient la neutropénie (33 %), l'hypertension (6 %) et la diminution du nombre de neutrophiles (5 %). Des EI graves sont survenus chez 36 patients (23 %) et un EI fatal est survenu.2

"L'ibrutinib est le premier inhibiteur de BTK approuvé au niveau mondial, et il a contribué à améliorer les résultats et la qualité de vie des patients atteints de cancers du sang, comme la LLC", a déclaré Craig Tendler, M.D., Global Head of Late Development, Diagnostics & Medical Affairs, Hematology & Oncology, Janssen Research & Development, LLC. "Cette autorisation renforce notre ambition inébranlable de faire progresser et d'optimiser les protocoles de traitement, y compris cette association exclusivement par voie orale, en une prise par jour et à durée fixe, d'ibrutinib-vénétoclax, permettant d'obtenir des rémissions profondes et durables pour les patients atteints de LLC précédemment non traitée."

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À propos de l'ibrutinib
L'ibrutinib est un médicament oral à prise unique quotidienne, développé et commercialisé conjointement par Janssen Biotech, Inc. et Pharmacyclics LLC, société du groupe AbbVie.3 L'ibrutinib neutralise la protéine tyrosine kinase de Bruton (BTK), dont les lymphocytes B normaux et anormaux, y compris certaines cellules cancéreuses, dépendent pour se multiplier et se propager.5 En inhibant le BTK, l'ibrutinib contribue à extraire les lymphocytes B anormaux de leur environnement nourricier et inhibe leur prolifération.6

L'ibrutinib est approuvé dans plus de 100 pays et a permis de traiter plus de 250 000 patients dans le monde.7 Plus de 50 essais cliniques commandités par la société, dont 18 études de Phase 3, ont été réalisés pendant 11 ans pour évaluer l'efficacité et l'innocuité de l'ibrutinib.3,8 En octobre 2021, l'ibrutinib a été intégré aux listes modèles de médicaments essentiels (LME) de l'Organisation mondiale de la santé, qui répertorient les médicaments répondant aux priorités de santé mondiales et qui devraient être disponibles et abordables pour tous.9

L'ibrutinib a été approuvé pour la première fois par la Commission européenne (CE) en 2014, et ses indications approuvées à ce jour sont les suivantes :3

  • En monothérapie ou en association avec le rituximab ou l’obinutuzumab ou le vénétoclax pour le traitement des patients adultes atteints d’une LLC non traitée précédemment
  • En monothérapie ou en association avec la bendamustine et le rituximab (BR) pour le traitement des patients adultes atteints de LLC ayant reçu au moins un traitement antérieur
  • En monothérapie pour le traitement des patients adultes atteints de LCM récidivante ou réfractaire
  • En monothérapie pour le traitement des patients adultes atteints de macroglobulinémie de Waldenström (MW) et ayant reçu au moins un traitement antérieur, ou en traitement de première intention pour les patients inaptes à la chimio-immunothérapie, et en association avec le rituximab pour le traitement des patients adultes atteints de MW

Pour une liste complète des effets secondaires et les informations sur la posologie et l'administration, les contre-indications et autres précautions à prendre lors de l'utilisation de l'ibrutinib, veuillez vous référer au résumé des caractéristiques du produit.

À propos de l'étude GLOW
L'étude de Phase 3 GLOW (N=211 ; âge médian, 71 ans) est un essai ouvert randomisé ayant évalué l'efficacité et l'innocuité de l'I V en première intention, à durée fixe, par rapport au Clb O chez les patients âgés (≥65 ans) atteints de LLC/SLL, ou chez les patients âgés de 18 à 64 ans ayant un score CIRS (cumulative illness rating scale) supérieur à six ou une clairance de la créatinine inférieure à 70 ml/min, sans dél(17p) ou mutations TP53 connues.1 Les patients de l'étude ont été randomisés pour recevoir soit 3 cycles de démarrage par ibrutinib, suivis de 12 cycles de I V (n=106), soit 6 cycles de Clb O (n=105).1 Le critère d'évaluation principal était la SSP évaluée par un comité d'examen indépendant.1

À propos de l'étude CAPTIVATE
L'étude de Phase 2 CAPTIVATE a évalué dans deux cohortes des patients adultes précédemment non traités atteints de LLC et âgés de 70 ans ou moins, notamment des patients présentant une maladie à haut risque : une cohorte guidée par la MRM (N=164 ; âge médian, 58 ans) et une cohorte à durée fixe (N=159 ; âge médian, 60 ans).10 Les patients de la cohorte à durée fixe ont reçu un traitement de 3 cycles de démarrage par ibrutinib, puis 12 cycles en association avec le vénétoclax (ibrutinib par voie orale [420 mg/j] ; vénétoclax par voie orale [augmentation sur 5 semaines jusqu'à 400 mg/j]) et le critère d'évaluation principal était le taux de réponse complète (RC).2

À propos de la leucémie lymphoïde chronique
La leucémie lymphoïde chronique (LLC) est typiquement un cancer des globules blancs du sang à évolution lente.11 L’incidence globale de la LLC en Europe est d'environ 4,92 cas pour 100 000 personnes par an et elle est environ 1,5 fois plus fréquente chez les hommes que chez les femmes.12 La LLC est une maladie qui affecte principalement les personnes âgées, avec un âge médian de 72 ans au moment du diagnostic.13

Malgré l'amélioration spectaculaire des résultats pour les patients au cours des dernières décennies, la maladie se caractérise toujours par des épisodes consécutifs de progression de la maladie et la nécessité d'un traitement.4 Les patients sont fréquemment soumis à plusieurs lignes de traitement lorsqu'ils rechutent ou qu'ils développent une résistance aux traitements.14

À propos des sociétés pharmaceutiques Janssen de Johnson & Johnson
Chez Janssen, nous créons un avenir dans lequel la maladie appartiendra au passé. Nous sommes les sociétés pharmaceutiques de Johnson & Johnson. Nous travaillons sans relâche pour que cet avenir devienne une réalité pour les patients du monde entier, en luttant contre la maladie grâce à la science, en faisant preuve d'ingéniosité pour améliorer l'accès aux traitements et en combattant le désespoir du fond du cœur. Nous nous concentrons sur des domaines médicaux où nous pouvons avoir un impact majeur, à savoir les troubles cardiovasculaires, du métabolisme et de la rétine ; l'immunologie ; les maladies infectieuses et les vaccins ; les neurosciences ; l'oncologie et l'hypertension pulmonaire.

Pour en savoir plus, consultez www.janssen.com/EMEA. Suivez-nous sur www.twitter.com/janssenEMEA pour connaître toute notre actualité. Janssen Pharmaceutica NV, Janssen Biotech Inc., Janssen-Cilag Limited et Janssen Research & Development, LLC font partie des sociétés pharmaceutiques Janssen du groupe Johnson & Johnson.

Le Dr Kater a agi en tant que consultant pour Janssen ; il n'a pas été rémunéré pour des travaux médiatiques.

Mises en garde concernant les énoncés prospectifs
Le présent communiqué de presse contient des "déclarations prospectives" concernant IMBRUVICA (ibrutinib), au sens du Private Securities Litigation Reform Act de 1995. Il est conseillé au lecteur de ne pas se fier indûment à ces déclarations prospectives. Ces déclarations sont basées sur les attentes actuelles concernant des événements futurs. Au cas où les hypothèses sous-jacentes se révéleraient inexactes ou si des risques ou des incertitudes connus ou inconnus se matérialisaient, les résultats actuels pourraient être matériellement différents des attentes et des projections de Janssen Research & Development, LLC, Janssen Pharmaceutica NV, Janssen-Cilag Limited, Janssen Biotech, Inc, de toute autre société pharmaceutique Janssen et/ou de Johnson & Johnson. Les risques et incertitudes concernent entre autres : les défis et impondérables inhérents à la recherche et au développement de produits, notamment les incertitudes quant au succès clinique et à l'obtention des autorisations réglementaires ; les incertitudes liées au succès commercial ; les difficultés et retards de production ; la concurrence, y compris les avancées technologiques, les nouveaux produits et les brevets obtenus par la concurrence ; les contestations de brevets ; les problèmes d'efficacité ou d'innocuité des produits se traduisant par des rappels de produits ou des mesures réglementaires ; les modifications du comportement et des habitudes de consommation des acheteurs de soins et de services de santé ; les révisions des lois et réglementations applicables, y compris les réformes mondiales des soins de santé ; et les tendances à la maîtrise des coûts des soins de santé. Vous trouverez une liste et une description plus détaillées de ces risques, incertitudes et autres facteurs dans le rapport annuel déposé par Johnson & Johnson sur le formulaire 10-K pour l'année fiscale clôturée le 2 janvier 2022, notamment dans les sections intitulées "Cautionary Note Regarding Forward-Looking Statements" et "Item 1A. Risk Factors", ainsi que dans les rapports trimestriels subséquents de Johnson & Johnson sur le formulaire 10-Q et autres dépôts auprès de la Securities and Exchange Commission. Des copies de ces documents sont disponibles en ligne sur www.sec.gov, www.jnj.com ou sur demande auprès de Johnson & Johnson. Aucune des sociétés pharmaceutiques Janssen, ni Johnson & Johnson n’assume l’obligation de mettre à jour un quelconque énoncé prospectif suite à de nouvelles informations ou à des événements ou développements futurs.

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Références

1 Kater AP, et al. Fixed-Duration Ibrutinib-Venetoclax in Patients with Chronic Lymphocytic Leukemia and Comorbidities. N Eng J Med Evidence. 2022. DOI:https://doi.org/10.1056/EVIDoa2200006.
2 Tam et al. Fixed-duration ibrutinib plus venetoclax for first-line treatment of CLL: primary analysis of the CAPTIVATE FD cohort. Blood. 2022. 139(22):3278–3289.
3 Résumé des caractéristiques du produit Imbruvica, janvier 2022. Disponible sur : Imbruvica, INN-ibrutinib (europa.eu). Dernière consultation : juin 2022.
4 Moreno C. Standard treatment approaches for relapsed/refractory chronic lymphocytic leukemia after frontline chemoimmunotherapy. Hematology Am Soc Hematol Educ Program. 2020;2020:33-40.
5 Turetsky A, et al. Single cell imaging of Bruton's tyrosine kinase using an irreversible inhibitor. Sci Rep. 2014;4:4782.
6 de Rooij MF, et al. The clinically active BTK inhibitor PCI-32765 targets B-cell receptor- and chemokine-controlled adhesion and migration in chronic lymphocytic leukemia. Blood. 2012. 119(11):2590-2594.
7 Janssen Data on File (RF-152098). Global number of cumulative patients treated with Ibrutinib since launch. October 2021.
8 Pollyea DA, et al. A Phase I Dose Escalation Study of the Btk Inhibitor PCI-32765 in Relapsed and Refractory B Cell Non-Hodgkin Lymphoma and Use of a Novel Fluorescent Probe Pharmacodynamic Assay. Blood. 2009. 114(22): 3713.
9 World Health Organisation. WHO prioritizes access to diabetes and cancer treatments in new Essential Medicines Lists. Disponible sur : https://www.who.int/news/item/01-10-2021-who-prioritizes-access-to-diabetes-and-cancer-treatments-in-new-essential-medicines-lists. Dernière consultation : juin 2022.
10 ClinicalTrials.gov. Ibrutinib Plus Venetoclax in Subjects With Treatment-naive Chronic Lymphocytic Leukemia /Small Lymphocytic Lymphoma (CLL/SLL) (CAPTIVATE). Disponible sur : https://www.clinicaltrials.gov/ct2/show/NCT02910583. Dernière consultation : juillet 2022.
11 American Cancer Society. What is chronic lymphocytic leukemia? Disponible sur : https://www.cancer.org/cancer/chronic-lymphocytic-leukemia/about/what-is-cll.html. Dernière consultation : juin 2022.
12 Sant M, et al. Incidence of hematologic malignancies in Europe by morphologic subtype: results of the HAEMACARE project. Blood. 2010. 116:3724–34.
13 Eichhorst B, et al. Chronic lymphocytic leukaemia: ESMO Clinical Practice Guidelines for diagnosis, treatment and follow-up Ann Oncol. 2021 Jan;32(1):23-33.
14 Bewarder M, et al. Current Treatment Options in CLL. Cancers (Basel). 2021;13(10):2468.

CP-331271
Juillet 2022

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